60

Rajah (./58) :
Ceci fait en bon et due forme, j'ajoute ne plus me définir en tant qu'atariste.
L'aporie est résolue.
Tu ne crois pas que tu accordes trop d'importance à quelque chose qui n'en vaut pas la peine ?
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

61

Zerosquare (./60) :
Tu ne crois pas que tu accordes trop d'importance à quelque chose qui n'en vaut pas la peine ?

Le quelque chose est "atari" ?
Depuis l'achat du Falcon jusqu'à sa revente tout à l'heure : clair que oui. Maintenant, pour être correct, il faut conjuger ta phrase au passé : "...accordais trop d'importance...".

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Non, à la réflexion malheureuse d'une personne qui n'a au fond aucune importance (la réflexion, pas la personne).
Quelle importance de décréter qui est (ou n'est pas) un Atariste, à part quand on s'appelle FLC et qu'on n'a rien de mieux à faire ?

Que tu aies décidé de revendre ton matériel c'est ton choix, mais ta remarque laisse penser que tu as gardé une certaine amertume. C'est dommage.
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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si je peux me permettre pencil

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Zerosquare (./62) :
Non, à la réflexion malheureuse d'une personne qui n'a au fond aucune importance (la réflexion, pas la personne).

Ah, ça ? Pour quelqu'un qui code, tout est affaire de réflexion. Je respecte la personne, mais certaines paroles ne passent pas. Et qu'on ne vienne pas causer en booléen parce ça peut faire des ravages.

Mon matos n'avait pas d'importance. C'était juste le symbole d'un engagement, et qui part avec. Longtemps, se définir comme atariste a été la bouée de sauvetage ; pour éviter de penser au suicide toutes les 10 secondes, j'ai pris mon clavier et j'ai pondu du code. Il n'y avait plus que ça pour rester en vie. C'en est devenu une question d'identité.
Maintenant que l'épisode est passé, que l'univers atari se rétrécie, et qu'on ne remarque que les caractériels : je vois ça comme une voie sans issue, une impasse dans la réflexion. Il a donc fallu que je me débarrasse de ça, sinon j'entrais dans une prison mentale voire la folie d'un FLC (développeur GEM comme lui, ça aide pas...).

Tu es libre d'y voir de l'amertume, mais ce n'est pas ce que je ressens.