smeet Le 18/05/2006 à 16:43 67 seulement et 3 de flood control
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.
smeet Le 18/05/2006 à 16:47 18 petites milli-secondes
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.
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Mention très longue voire philosophique qui permettra de transcender le contenu de ce post vide de sens court et désintéressé, ainsi qu'à augmenter son nombre de caractères jusque là indigne d'un forum où chacun est susceptible d'accéder à sa substentifique moelle (toutefois la taille de ce texte sera reduite afin de ne pas trop empiéter sur la liberté de volonté d'information de tous). Il s'agira en effet d'aborder un thème grave dans la société actuelle, et dans la vie de chaque être en ce début de vingt-et-unième siècle : est-il moral d'infliger aujourd'hui un tel suplice aux lecteurs que ce texte tout à fait ennuyant et sans intéret ? De même, a-t-on encore le droit d'obliger des êtres humains, car il ne faut pas perdre de vue qu'il s'agit ici de vies humaines, à assister à des conférences plus ou moins philosophiques mais surtout parfaitement lassantes, voire torturantes ? Un premier élément de réponse à ces questions peut-être le suivant : si l'arbitre n'avait pas siffler, et avait donc accordé le but à Barcelone sans expulser le gardien d'Arsenal, la finale eut été sans aucun doûte plus intéressante et juste : le meilleur dans le jeu, et non pas le plus fort physiquement car l'autre est en infériorité numérique l'aurait emporté. Nous sommes donc aménés à nous interroger sur la compétence même de cet arbitre qui ne laisse pas l'avantage qui conduit à un but indicutable de Giuly une seconde plus tard. Or ce même arbitre, nommé par l'UEFA n'est même pas sélectionner pour officier durant la Coupe du Monde 2006; pire, il n'était pas même pré-sélectionner dans la liste des potentiels retenun pour cet évenement majeur ! Les regards se tournent alors vers l'UEFA : pourquoi une tel choix qui s'est avéré être une erreur, d'autant plus que fautes d'arbitrages et action litigieuses se sont enchainées tout au long de cette finale sur laquelle tant d'attente et d'espoir reposaient. Si pourtant aucune réaction n'est à attendre de la part de l'institution, de tels évenements devront éviter de se reproduire ou cette dernière pourraient se trouver elle-même discréditée du public, voire des clubs.
C'est pourquoi je penses qu'il faut arrêter avec tous ces textes longs et barbants qui se multiplient de nos jours.
smeet Le 18/05/2006 à 17:29 107 milli secondes un peu perdues.
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.
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Mention très longue voire philosophique qui permettra de transcender le contenu de ce post vide de sens, court et désintéressé, ainsi qu'à augmenter son nombre de caractères jusque là indigne d'un forum où chacun est susceptible d'accéder à sa substentifique moelle (toutefois la taille de ce texte sera reduite afin de ne pas trop empiéter sur la liberté de volonté d'information de tous). Il s'agira en effet d'aborder un thème grave dans la société actuelle, et dans la vie de chaque être en ce début de vingt-et-unième siècle : est-il moral d'infliger aujourd'hui un tel suplice aux lecteurs que ce texte tout à fait ennuyant et sans intéret ? De même, a-t-on encore le droit d'obliger des êtres humains, car il ne faut pas perdre de vue qu'il s'agit ici de vies humaines, à assister à des conférences plus ou moins philosophiques mais surtout parfaitement lassantes, voire torturantes ? Un premier élément de réponse à ces questions peut-être le suivant : si l'arbitre n'avait pas siffler, et avait donc accordé le but à Barcelone sans expulser le gardien d'Arsenal, la finale eut été sans aucun doûte plus intéressante et juste : le meilleur dans le jeu, et non pas le plus fort physiquement car l'autre est en infériorité numérique, l'aurait emporté. Nous sommes donc aménés à nous interroger sur la compétence même de cet arbitre qui ne laisse pas l'avantage qui conduit à un but indiscutable de Giuly une seconde plus tard. Or ce même arbitre, nommé par l'UEFA n'est même pas sélectionner pour officier durant la Coupe du Monde 2006; pire, il n'était pas même pré-sélectionner dans la liste des potentiels retenun pour cet évenement majeur ! Les regards se tournent alors vers l'UEFA : pourquoi une tel choix qui s'est avéré être une erreur, d'autant plus que fautes d'arbitrages et action litigieuses se sont enchainées tout au long de cette finale sur laquelle tant d'attente et d'espoir reposaient. Si pourtant aucune réaction n'est à attendre de la part de l'institution, de tels évenements devront éviter de se reproduire ou cette dernière pourrait se trouver elle-même discréditée du public, voire des clubs.
C'est pourquoi je penses qu'il faut arrêter avec tous ces textes longs et barbants qui se multiplient de nos jours.
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Mention très longue voire philosophique qui permettra de transcender le contenu de ce post vide de sens, court et désintéressé, ainsi qu'à augmenter son nombre de caractères jusque là indigne d'un forum où chacun est susceptible d'accéder à sa substentifique moelle (toutefois la taille de ce texte sera reduite afin de ne pas trop empiéter sur la liberté de volonté d'information de tous). Il s'agira en effet d'aborder un thème grave dans la société actuelle, et dans la vie de chaque être en ce début de vingt-et-unième siècle : est-il moral d'infliger aujourd'hui un tel suplice aux lecteurs que ce texte tout à fait ennuyant et sans intéret ? De même, a-t-on encore le droit d'obliger des êtres humains, car il ne faut pas perdre de vue qu'il s'agit ici de vies humaines, à assister à des conférences plus ou moins philosophiques mais surtout parfaitement lassantes, voire torturantes ? Un premier élément de réponse à ces questions peut-être le suivant : si l'arbitre n'avait pas siffler, et avait donc accordé le but à Barcelone sans expulser le gardien d'Arsenal, la finale eut été sans aucun doûte plus intéressante et juste : le meilleur dans le jeu, et non pas le plus fort physiquement car l'autre est en infériorité numérique, l'aurait emporté. Nous sommes donc aménés à nous interroger sur la compétence même de cet arbitre qui ne laisse pas l'avantage qui conduit à un but indiscutable de Giuly une seconde plus tard. Or ce même arbitre, nommé par l'UEFA n'est même pas sélectionner pour officier durant la Coupe du Monde 2006; pire, il n'était pas même pré-sélectionner dans la liste des potentiels retenun pour cet évenement majeur ! Les regards se tournent alors vers l'UEFA : pourquoi une tel choix qui s'est avéré être une erreur, d'autant plus que fautes d'arbitrages et action litigieuses se sont enchainées tout au long de cette finale sur laquelle tant d'attente et d'espoir reposaient. Si pourtant aucune réaction n'est à attendre de la part de l'institution, de tels évenements devront éviter de se reproduire ou cette dernière pourrait se trouver elle-même discréditée du public, voire des clubs.
C'est pourquoi je penses qu'il faut arrêter avec tous ces textes longs et barbants qui se multiplient de nos jours.
vince Le 23/05/2006 à 13:50 71, comme l'addition du ricard et du pinard (51+20)
smeet Le 23/05/2006 à 14:08 123
comme 1,2,3 ,nous irons au bois
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.
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