Légion étrangère - Page 1

C'est un gars qui a tout quitté pour rejoindre la légion étrangère. Le voilà expatrié à Djibouti. Après plus de trois mois dans le désert, l'abstinence sexuelle commence à lui peser. Du coup, il demande à un légionnaire déjà en poste à Djibouti depuis plusieurs années comment ils se défoulent...
Le légionnaire plus ancien lui répond : - "On utilise le dromadaire là-bas !"
Notre légionnaire n'en est pas encore à ce stade du manque, et il décide d'attendre encore un peu. Six mois plus tard, c'en est trop ! Notre légionnaire va retrouver le dromadaire, se bricole un petit escabeau qu'il place derrière l'animal, et commence son affaire... Á ce moment précis, le sergent accompagné du légionnaire plus ancien passent par là et lui disent : - "Ne nous le casse pas. On en a besoin pour aller voir les putes en ville !"

lol

la chute était pour le moins attendue

l'ai déja entendue celle là, mais lol quand même

Zorrow: La chute non, mais ta remarque, si

Un esprit qui s'est développé de manière saine et équilibré ne peut envisager le chameau d'une manière fonctionnelle que comme un moyen de locomotion, de plus il est de notoriété public qu'à défaut d'avoir une gueuse il faut débourser chez des professionelles

Un esprit qui s'est développé de manière saine et équilibré n'a pas d'oeillères sur ses hormones ni sur les politiques d'ouvertures sur Mère Nature et toute sa smalla qui sont plus ou moins secrètement en vigueur depuis que l'être humain mâle a découvert que l'appendice télescopique qui lui pend au bassin peut servir à autre chose qu'à repeindre son cabinet. En cela, il associe la pensée - certes perverse, mais néanmoins cocasse - d'un accouplement homo-camelique à celui d'une progression burlesque en direction d'une feinte associant une conotation au monde militaire à un fait socio-culturel ou à une coutume morale telle que l'animal se retrouve au premier plan d'une turlupinode singulière mais non fondamentalement irréaliste. Par exemple, le dromadaire aurait pu exprimer sa désapprobation quant à pratiquer la levrette en dehors du mariage.

rien compris mais , et puis:

Myth (./10) :
l'appendice télescopique qui lui pend au bassin

Myth (./10) :
turlupinode

9> Il abuse d'une rhétorique obscure pour justifier le naturel du penchant qu'il éprouve pour les chameaux, le gout qu'il prend à tripoter des chamelons, le frémissement qu'il éprouve à la vue de bosses si robustes, sous couvert d'une politique d'ouverture multiraciale (qui oserait s'en prendre à une politique d'ouverture se ferait immédiatement taxer de fasciste réactionnaire, car l'on a tot fait d'associer l'ouverture politique à celle de l'esprit (*)). Puis mets en oeuvre une sorte de fondue-enchainée (l'Animal,l'Homme,la Morale, la Culture, la Levrette) visant à attester du caractère inattendue de la chute de la blague initiale en s'appuyant sur des valeurs depuis longtemps consacré (notemment la Levrette) , ponctuant le tout de calembours douteux.

(*) sauf les esprits retors qui associeraient plutôt l'ouverture à une béance anale, mais "l'anus étant le fondement de l'être" on en revient à une certaine forme d'esprit

...

je voulais pas savoir en fait

Il ne faut pas se laisser abuser par ce genre de terrorisme intellectuel
(turlupinode, non mais vraiment , quelle idée que de rajouter un -ode pour centraliser la pine (2 syllabes de par et d'autres, disposé comme une paire de couille) tout en ajoutant une dimension lyrique)

(il aurait à redire sur la perception de l'animal dans le bien-être corporel humain)

(je l'imagine évoquer un au delà à nos orifices,une dimension transcendante de l'organe, une mystique de la bave qui dissout la dualité homme-animal )

Zorrow (./13) :
turlupinode, non mais vraiment , quelle idée que de rajouter un -ode pour centraliser la pine (2 syllabes de par et d'autres, disposé comme une paire de couille) tout en ajoutant une dimension lyrique

Myth & Zorrow >

Ils font la paire, ces deux là, quand ils veulent :]

Une autre dans le meme genre: un mec dans la legion etrangere, isole au milieu de nulle part, il demande a ses camarades comment ils se calment la crampe. "On se tape les chevres dans l'enclos la-bas, tu peux y aller, tout le monde le fait"
La nuit, le jeune soldat n'en peut plus, il entre dans l'enclos, se saisit d'une chevre au hasard et commence son affaire. C'est alors que tous les autres soldats sortent des buissons et le pointent du doigt en rigolant.
- Putain je croyais que tout le monde le faisait!
- Ouais mais toi t'as pris la plus moche!

Et que faisaient-ils dans les buissons, hein ?

Ben ils prenaient la moins moche.