1020

les trolls pourrissent au bout d'une dizaine de pages, il faut les greffer ailleurs pour qu'ils repartent sur des bases plus saines
avatar
I'm on a boat motherfucker, don't you ever forget

1021

Nous sommes de bons jardiniers et yaronet est un merveilleux jardin
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1022

oui
Hippopotame (./1017) :
ben si tu appelles evil dongle un monde comme kgs alors c'est un enfer fait pour moi.

Ben non ? Juste qu'il y a toute la technologie faite pour pouvoir être evil, ça veut pas dire que c'est evil... De même que sur un hypothétique processeur crypté lancer un logiciel open source ne le rend pas evil smile
Tu as juste l'air de dire oh la la, c'est une utopie mais ça marche pas parce que les gens feront leur petite popote dans leur coin au lieu de danser tous ensemble en se tenant la main.
Et bien non ce n'est pas une utopie, et oui les gens feront leur petite popote dans leur coin, mais c'est pas bien grave et ça restera raisonnable.

"raisonnable" ça veut dire que des gens qui sont prêts à payer pour la valeur ajoutée que leur procurerait un logiciel ne pourront pas profiter du logiciel et de la valeur ajoutée qu'il pourrait générer ? (ou devront se contenter d'un logiciel inférieur capable de moins de valeur ajoutée)

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1023

raisonnable ça veut dire que si kgs fait le con alors les gens iront sur igs, donc les cons sont éliminés par sélection naturelle.

Bien sûr le monde n'est pas parfait et il y a des exception, malgré tout ya pas de raison que le Mal triomphe. Le Mal, c'est *maintenant* qu'il triomphe.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1024

pourquoi, *maintenant* tu ne peux pas jouer au go sur internet ?

et le monde des besoins logiciels ne se réduit pas aux besoins implémentables par un petit rigolo qui joue au go, demande à Jean-Claude !

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1025

Maintenant Sarko va me foutre en taule parce que j'ai téléchargé l'Histoire sans fin.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1026

mais non, il ne ferait pas ça voyons ^^

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1027

Ben seule la masse énorme de désobéissance populaire l'en empêche. Espérons qu'elle ne faiblisse jamais.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1028

seule la masse énorme de désobéissance populaire te permet de le télécharger de toute façon, donc bon triso

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1029

Exactement !!

(pourquoi le smiley?)
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1030

ben c'est marrant, ça s'auto-entretient happy

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1031

comme tout marché noir
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1032

raciste ! m'étonne pas que tu dises du mal de SR, tiens embarrassed

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1033

Elle nous conduira vers d'autres victoires
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1034

c'est la Messie

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1035

Quelque chose s'est levé qui ne s'arrêtera pas
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1036

(j'espère que si…)
avatar
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)

<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

1037

On aura sans doute remarqué l'emploi des guillemets autour de l'expression « propriété intellectuelle ». C'est qu'il y a dans cette dénomination un sous-entendu qui ne devrait pas être admis comme allant de soi, à savoir que la « propriété intellectuelle » relève de la propriété, et qu'à ce titre elle mérite d'être défendue au même degré que la propriété matérielle. On cherche donc à la faire passer pour un droit imprescriptible et inaliénable de l'homme. Il y a dans ce simple choix de terme tout un programme dont la reconnaissance silencieuse nous prive du droit à le contester. Et avec ce choix viennent également des jugements moraux sur ceux qui enfreignent le droit prétendu à la « propriété intellectuelle » : ceux qui ne la respectent pas deviendraient ipso facto des « voleurs » (témoins les campagnes publicitaires des défenseurs de la « propriété intellectuelle » qui n'hésitent pas à utiliser une terminologie aussi colorée). Voilà une façon commode de couper court à tout débat contradictoire, en déclarant, par un simple tour de rhétorique, nuls (ou extrémistes) et irrecevables tous les arguments qu'on pourra objecter.

Sans tomber dans cette rhétorique ainsi dénoncée, tentons de voir en quoi consiste au juste cette « propriété intellectuelle ».

Le droit en question recouvre des domaines assez variés. Il va du droit des auteurs, c'est-à-dire la « propriété » littéraire et artistique au droit des brevets, qui relève de la « propriété » industrielle. Entre les deux il existe ce droit étrange qui protège les auteurs de logiciels, et qui est assimilé, à l'encontre du sens commun, au domaine littéraire et artistique. Les buts recherchés sont également assez variés, allant d'un droit moral de reconnaissance de paternité à un droit purement financier de retour d'investissement, en passant par une protection de l'œuvre elle-même contre le plagiat. Dans tous les cas, il prend la forme d'un monopole garanti à une certaine personne (l'artiste-créateur, mais aussi parfois l'interprète, l'éditeur, l'héritier, l'employeur, l'investisseur) sur l'usage, la reproduction, la diffusion, la publication, d'une certaine information dans un sens large (œuvre littéraire, bien entendu, mais aussi base de données, logo, technique industrielle, idée dans un sens très vague — même si le Code de la propriété intellectuelle exclut théoriquement la brevetabilité des idées).

Bref, la « propriété intellectuelle » se résume en deux mots : « monopole » sur des « informations ». Et on voit dès lors à quel point son champ est large et terrifiant. Il n'est désormais plus aucune idée, aucun concept, aucune création, qui naisse libre : toutes sont soumises à cette « propriété » omniprésente.

Comparons maintenant la « propriété intellectuelle » à la propriété matérielle. En surface, il apparaît une ressemblance importante : il s'agit de garantir à une personne (le « propriétaire », qui n'a pas nécessairement de justification de paternité) l'exclusivité de la jouissance sur un objet matériel. En vérité, cependant, les différences sont considérables. D'abord, parce que la propriété matérielle est correctement circonscrite : elle ne concerne que des objects palpables et bien définis, ou des régions limitées de l'espace ; tandis que la « propriété intellectuelle » n'a aucune limite à son champ d'application. Ensuite, parce que la notion de « vol intellectuel » est un artifice rhétorique : il s'agit de copie et non de spoliation ; et nous reviendrons abondamment sur ce point. Enfin, parce qu'il est tout naturel qu'un objet matériel appartienne à une seule personne, lorsqu'il ne peut en être fait usage que par un seul : le monopole en ce qui concerne la propriété naturelle est inhérent, le droit ne faisant que codifier les modalités de sa répartition ; tandis qu'en ce qui concerne l'information, le monopole est artificiel et, nous espérons le montrer, nuisible dans son excès.

En raison de ces différences, nous affirmons que la prétendue « propriété intellectuelle » n'est pas un droit naturel.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1038

Hippopotame (./1035) :
Quelque chose s'est levé qui ne s'arrêtera pas

trisotfltrisotfltrisotfl
(#robert cash#)

« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)

1039

cheeky
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1040

Hippopotame (./1037) :
On aura sans doute remarqué l'emploi des guillemets autour de l'expression « propriété intellectuelle ». C'est qu'il y a dans cette dénomination un sous-entendu qui ne devrait pas être admis comme allant de soi, à savoir que la « propriété intellectuelle » relève de la propriété, et qu'à ce titre elle mérite d'être défendue au même degré que la propriété matérielle. On cherche donc à la faire passer pour un droit imprescriptible et inaliénable de l'homme. Il y a dans ce simple choix de terme tout un programme dont la reconnaissance silencieuse nous prive du droit à le contester. Et avec ce choix viennent également des jugements moraux sur ceux qui enfreignent le droit prétendu à la « propriété intellectuelle » : ceux qui ne la respectent pas deviendraient ipso facto des « voleurs » (témoins les campagnes publicitaires des défenseurs de la « propriété intellectuelle » qui n'hésitent pas à utiliser une terminologie aussi colorée). Voilà une façon commode de couper court à tout débat contradictoire, en déclarant, par un simple tour de rhétorique, nuls (ou extrémistes) et irrecevables tous les arguments qu'on pourra objecter.

Sans tomber dans cette rhétorique ainsi dénoncée, tentons de voir en quoi consiste au juste cette « propriété intellectuelle ».

Le droit en question recouvre des domaines assez variés. Il va du droit des auteurs, c'est-à-dire la « propriété » littéraire et artistique au droit des brevets, qui relève de la « propriété » industrielle. Entre les deux il existe ce droit étrange qui protège les auteurs de logiciels, et qui est assimilé, à l'encontre du sens commun, au domaine littéraire et artistique. Les buts recherchés sont également assez variés, allant d'un droit moral de reconnaissance de paternité à un droit purement financier de retour d'investissement, en passant par une protection de l'œuvre elle-même contre le plagiat. Dans tous les cas, il prend la forme d'un monopole garanti à une certaine personne (l'artiste-créateur, mais aussi parfois l'interprète, l'éditeur, l'héritier, l'employeur, l'investisseur) sur l'usage, la reproduction, la diffusion, la publication, d'une certaine information dans un sens large (œuvre littéraire, bien entendu, mais aussi base de données, logo, technique industrielle, idée dans un sens très vague — même si le Code de la propriété intellectuelle exclut théoriquement la brevetabilité des idées).

Bref, la « propriété intellectuelle » se résume en deux mots : « monopole » sur des « informations ». Et on voit dès lors à quel point son champ est large et terrifiant. Il n'est désormais plus aucune idée, aucun concept, aucune création, qui naisse libre : toutes sont soumises à cette « propriété » omniprésente.

Comparons maintenant la « propriété intellectuelle » à la propriété matérielle. En surface, il apparaît une ressemblance importante : il s'agit de garantir à une personne (le « propriétaire », qui n'a pas nécessairement de justification de paternité) l'exclusivité de la jouissance sur un objet matériel. En vérité, cependant, les différences sont considérables. D'abord, parce que la propriété matérielle est correctement circonscrite : elle ne concerne que des objects palpables et bien définis, ou des régions limitées de l'espace ; tandis que la « propriété intellectuelle » n'a aucune limite à son champ d'application. Ensuite, parce que la notion de « vol intellectuel » est un artifice rhétorique : il s'agit de copie et non de spoliation ; et nous reviendrons abondamment sur ce point. Enfin, parce qu'il est tout naturel qu'un objet matériel appartienne à une seule personne, lorsqu'il ne peut en être fait usage que par un seul : le monopole en ce qui concerne la propriété naturelle est inhérent, le droit ne faisant que codifier les modalités de sa répartition ; tandis qu'en ce qui concerne l'information, le monopole est artificiel et, nous espérons le montrer, nuisible dans son excès.

En raison de ces différences, nous affirmons que la prétendue « propriété intellectuelle » n'est pas un droit naturel.

Mettons qu'il n'est pas naturel... mais ça n'en résout pas pour autant les problèmes posés par sa suppression !
avatar
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)

<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

1041

Pour ce qui est des effets pervers à plus long terme, nous pensons que l'exemple le plus frappant est celui de l'informatique. Il est incontestable que l'« état de l'art » (state of the art) en technique informatique a des années de retard par rapport à nos connaissances théoriques. Sans doute y a-t-il plusieurs raisons à cela. Cependant, une des raisons apparaît clairement en l'essence de la « protection » excessive que nous dénonçons. Les logiciels qualifiés de « libres », c'est-à-dire ceux qui ont délibérément renoncé à la protection qui leur était accordée par les droits d'auteurs, pour n'en conserver que, en substance, la reconnaissance de paternité, ont montré leur supériorité technique fréquente, parfois même écrasante, sur les logiciels « propriétaires » (c'est-à-dire ceux qui conservent la protection). De là à prétendre que les retards de l'informatique sont dus, au moins en partie, aux efforts inutilement dupliqués à cause de la propriété intellectuelle et au temps perdu en attendant les logiciels libres, il n'y a qu'un pas, que nous franchissons sans hésiter. Et encore, nous omettons de parler des brevets logiciels, contre lesquels il existe une quasi-unanimité, avis cependant tout simplement ignoré.

La protection dont bénéficient les concepteurs de sites Web va également à l'encontre des intérêts de ceux qui utilisent ces sites. On se plaint aujourd'hui du fichage et du « flicage » dont les Internautes sont victimes : des mesures de protection sont possibles, mais elles sont largement gênées par la protection dont font l'objet d'une part les logiciels de navigation (« browsers ») et d'autre part les sites eux-mêmes.

Pour ce qui est des domaines artistiques, il y a également eu des effets pervers. Car, contrairement à ce qu'on peut naïvement penser, c'est avant tout aux éditeurs, et non aux auteurs, que profitent les droits dits d'auteurs, ou du moins leurs excès. Ils ont donc contribué à maintenir en place la toute-puissance des éditeurs, et, partant, la survalorisation des artistes les plus populaires par rapport aux artistes peu connus, en forçant des prix artificiellement élevés sur les productions. Rappelons que le CD, lorsqu'il est apparu, coûtait cher : nettement plus cher que la cassette audio qui l'a précédé ; ce prix élevé devait servir à amortir l'invention, et diminuer par la suite — or on constate que les CD continuent de coûter cher.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1042

SAUCE OR GTFO
Hippopotame (./1041) :
Les logiciels qualifiés de « libres », c'est-à-dire ceux qui ont délibérément renoncé à la protection qui leur était accordée par les droits d'auteurs, pour n'en conserver que, en substance, la reconnaissance de paternité, ont montré leur supériorité technique fréquente, parfois même écrasante, sur les logiciels « propriétaires » (c'est-à-dire ceux qui conservent la protection)

Ca me fait doucement rigoler... C'est vrai dans le cas des logiciels grand public, mais pas des logiciels de pointe (à destination d'un public de non informaticiens, j'entends).
avatar

1043

Nan mais comment t'explique que windows ait connu jusqu'à si récemment (et connaisse encore) des problème avec la fragmentation?

Comment t'expliques que des découvertes bien connues en info théorique depuis plus de 30 ans ne soient toujours pas implémentées?

http://www.madore.org/~david/misc/thoughts/manifesto.html
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1044

Hippopotame (./1041) :
Pour ce qui est des effets pervers à plus long terme, nous pensons que l'exemple le plus frappant est celui de l'informatique. Il est incontestable que l'« état de l'art » (state of the art) en technique informatique a des années de retard par rapport à nos connaissances théoriques. Sans doute y a-t-il plusieurs raisons à cela. Cependant, une des raisons apparaît clairement en l'essence de la « protection » excessive que nous dénonçons. Les logiciels qualifiés de « libres », c'est-à-dire ceux qui ont délibérément renoncé à la protection qui leur était accordée par les droits d'auteurs, pour n'en conserver que, en substance, la reconnaissance de paternité, ont montré leur supériorité technique fréquente, parfois même écrasante, sur les logiciels « propriétaires » (c'est-à-dire ceux qui conservent la protection). De là à prétendre que les retards de l'informatique sont dus, au moins en partie, aux efforts inutilement dupliqués à cause de la propriété intellectuelle et au temps perdu en attendant les logiciels libres, il n'y a qu'un pas, que nous franchissons sans hésiter.


Euh pour moi, c'est surtout le besoin de compatibilité avec l'existant qui est le plus gros frein à l'innovation... L'exemple le plus marquant est l'adoption d'IP v6 ... Ça fait des années qu'il est lancé, et tu as déjà vu le bout d'une IP v6 ? Pourtant, pas de problème de propriétaire là-dedans...


Ensuite, la supériorité technique des logiciels libres... #zygus# Tu peux préciser ta pensée ?
Déjà, pour voir si le libre est vraiment bien, il ne faudrait pas prendre en compte les développements proprio qui sont devenus libres pour reprendre des parts de marché (mais ils ont acquis leurs caractéristiques quand ils étaient proprio, comme OpenOffice par exemple)
Comparons les jeux libres aux jeux proprio... en fait, non, c'est une mauvaise idée, les jeux libres ont 10 ans de retard, et c'est trop facile cheeky
Bon, les suites bureautiques ? Excel explose tout ce qu'il se fait en tableur...
La CAO ? Solidworks ou CATIA sont à des années-lumières de ce qu'il se fait en libre…

Bon, y a quoi alors ? Apache est libre, mais je ne sais pas si on peut parler de supériorité écrasante... (et ce n'est sûrement pas sans raison qu'il ne cesse de perdre des parts de marché hehe)
Non, là je ne vois pas...
avatar
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)

<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

1045

Hippopotame (./1043) :
Nan mais comment t'explique que windows ait connu jusqu'à si récemment (et connaisse encore) des problème avec la fragmentation?

Comment t'expliques que des découvertes bien connues en info théorique depuis plus de 30 ans ne soient toujours pas implémentées?

http://www.madore.org/~david/misc/thoughts/manifesto.html

Bon, si tu parles de la fragmentation du NTFS, je parle des gestions des droits, bien supérieure avec NTFS hehe
avatar
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)

<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

1046

Hippopotame (./1043) :
Nan mais comment t'explique que windows ait connu jusqu'à si récemment (et connaisse encore) des problème avec la fragmentation?
Comment t'expliques que des découvertes bien connues en info théorique depuis plus de 30 ans ne soient toujours pas implémentées?
http://www.madore.org/~david/misc/thoughts/manifesto.html

Et comment tu expliques que la gestion des droits sur le fs par défaut de Linux soit si minable, malgré l'espèce de gros hack que sont les ACL ? Tu ne prouves rien du tout, simplement qu'il y a des priorités qui sont définies en fonction d'un public donné.
edit : raaaah cross grin
avatar

1047

Les gestions de droit ça existe depuis la préhistoire...

Comment en est-on arrivés à s'émerveiller d'avoir à attendre 1993, voire bien plus tard pour le grand public, que ça soit implémenté? C'est incroyable quand même cet état d'esprit en informatique

Il faudra encore combien de décennies pour implémenter les découvertes qui aujourd'hui sont bien connues dans les labos d'info?
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1048

Nil > t'es pas d'accord pour trouver ce troll décevant de la part d'hippo ? on croirait lire un intégriste linuxien de base tsss

(quoi ? c'est un pléonasme ?)
avatar
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)

<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

1049

J'ai horreur de linux ! J'ai horreur de la GPL !


C'est vous que je trouve complètement pourris de mauvaise foi dans ce troll.
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

1050

Hippopotame (./1047) :
Les gestions de droit ça existe depuis la préhistoire...

Oui, mais le système libre le plus répandu sur Terre (donc le plus à même de répondre à ton attaque puisqu'a priori le plus maintenu) souffre d'être préhistorique alors qu'on sait bien que la gestion fine des droits n'est pas triviale.

Et je suis d'accord avec Flanker, je suis assez déçu, j'ai vraiment l'impression de lire un pro du libre qui n'aurait pas plus d'arguments que "le commercial sapu, regardez, NTFS a des soucis de gestion de la fragmentation".
avatar