Joanne Kathleen Rowling,
Harry Potter and the Philosopher’s StoneNote : pfiou, c’est la seule image que j’ai trouvée avec le bon texte dans la bande noire en bas (correspondant à l’édition que je suis en train de lire), la plupart des autres images donnent la citation du
Sunday Telegraph.
Ximoon (./1371) :
Alors, est-ce aussi mal écrit que le film le laisse supposer ?
N’ayant pas vu le film, je ne peux pas comparer.
Le bouquin se laisse bien lire, le style narratif reste classique pour une œuvre de
fantasy.
D’après l’
article WP (
spoil inside 
), on retrouve le même schéma narratif que dans
Star Wars (l’auteur du paragraphe se permet même d’imaginer les grandes lignes du volume 3, pas encore paru, en se basant sur SW), et j’admets que ça se tient, mais n’étant pas un grand spécialiste de SW (j’ai juste vu une fois les épisodes IV à VI), je n’irai pas plus loin.
Un parallèle que, de manière personnelle, je ferais, c’est avec
The Wheel of Time (WoT, cf
./1268) : j’ai retrouvé quelques « schémas narratifs » (je ne sais pas si c’est le terme qui convient) communs entre les deux.
Par exemple, comme souvent, le héros quitte son petit village natal pour suivre sa quête initiatique (on a pareil avec Son Goku dans
Dragon Ball ou Gon dans
Hunter × Hunter 
), mais qu’arrive-t-il audit village pendant ce temps ?
WoT et
Eragon apporte la même « solution » au début (je vous laisse lire pour découvrir quel est ce « problème » qui demande une « solution »

), avec certes une divergence au bout d’un moment (on retrouve d’ailleurs la même problématique dans
Le Seigneur des Anneaux, mais la « solution », un peu différente, n’est apportée qu’après les aventures principales des héros, et non pendant).
Autre question soulevée par WoT et Eragon : comment les armées suivant la voie des héros (l’armée d’Egwene dans WoT, les Vardens dans
Eragon) sont-elles financées (nourriture et paye des soldats) ? (question que je n’ai retrouvée nulle part ailleurs)
Là aussi, la réponse apportée est la même, avec en gros la même critique des personnages détracteurs (« mais voyons, ça ne se fait pas ! ») et la même réponse de l’instigatrice (oui, dans les 2 cas, c’est une femme qui trouve comment financer l’armée dont elles ont le commandement

) : « c’est ça ou on crève » (en gros, hein

).
Autre petit point commun : dans les 2 histoires, des sciences et techniques de notre XVIII
e siècle sont découvertes (technologie dans WoT, physique-chimie dans
Eragon) et serviront au combat.
Je n’ai plus en tête les autres détails communs que j’avais repérés.
Note : celui qui m’avait prêté WoT il y a bientôt 1 an est en train de lire
Dune (en anglais aussi, ce type est un malade

¹ (et je vais sans doute faire pareil

²)), et il trouve que WoT est un peu inspiré de
Dune (mais il ne m’a pas dit en quoi).
À suivre, donc…