oui, il y en aura surement quelques unes.
mais on s'en fout...
ça ne change rien à rien.
et si c'etait le france qui en recevait une de bombe? ce n'est pas parce que la france s'est opposé aux usa qu'elle est a l'abri du terrorisme!
saddam ment et on s'en fout?
ca serait pas un drame si on le desarmait pas?
le fait qu'un des pires dictateurs du 20e siecle possede des armes de destruction massive ne te derange pas?????
si il faut declarer la guerre a tous les menteurs de la terre on n'est pas sortis de l'auberg
si c'est pas un des pires dictateurs du 20e siecle, jeme demande bien ce que c'est! c'est une menace sur personne POUR LE MOMENT mais pour le court terme pour la terre entiere!
ce n'est pas parce qu'on ne peut pas guerir toutes les maladies qu'on ne v pas chercher de nouveaux traitements! (ca fait plusieurs fois que je le dis mais ca me parait essentiel
je dis pas une offensive massive pour envahie l europe et les usa!mais lancer un missile chimique, il le peut!
j'aimerai bien savoir le nombre de dictateurs de son "niveau" que le 20e siecle a connu...
ce n'est pas parce qu'il ment qu'il faut l'enlever!c'est parce que c'est un dictateur et qu'il represente une menace pour beaucoup de monde (chose dont je suis convaincu...)
WASHINGTON (AP) - A moins de 24 heures de l'expiration de l'ultimatum posé par George W. Bush, l'une des plus grandes inquiétudes du Pentagone demeurait l'éventualité d'une guerre urbaine sanglante en Irak, notamment dans les deux principales agglomération du pays, Bagdad (centre) et Bassorah (sud).
Face au risque d'affrontements difficiles et meurtriers, le Pentagone semble privilégier une attaque contre Bassorah. Les responsables américains estiment en effet que cette ville portuaire, située à environ 55km du Koweït, tombera plus aisément aux mains de la coalition conduite par les Etats-Unis.
En revanche, Bagdad sera loin d'être facile à envahir car la capitale irakienne abrite non seulement les divers palais de Saddam Hussein, mais elle sert également de base à la Garde républicaine et aux autres forces de sécurité du pays.
C'est donc Bassorah qui devrait subir la première attaque. Cette cité de quelque 1,3 million d'habitants est le principal port irakien et un centre-clé de l'industrie pétrolière du pays. Entre 1980 et 1988, la ville avait été dévastée par des combats -dont des attaques chimiques irakiennes- de la guerre Iran-Irak, qui opposaient les deux voisins pour le contrôle du Chatt al-Arab, détroit reliant Bassorah au Golfe arabo-persique.
Selon le Pentagone, Saddam Hussein n'a pas prévu de s'investir outre mesure pour cette ville à forte majorité chiite, qui s'était rebellée contre le régime du président sunnite après la guerre du Golfe. Bassorah est protégée par deux divisions d'armée régulière, qui pourraient fuir tout affrontement, affirment même les services de renseignements du Pentagone.
Les militaires américains espèrent que les sentiments anti-Saddam pousseronnt les troupes et les résidants de Bassorah à accueillir les soldats de la coalition en libérateurs, un scénario qui assénerait un coup psychologique au pouvoir à Bagdad.
L'incertitude sur l'armement chimique reste toutefois présente dans les esprits. Selon le Pentagone, Saddam Hussein a autorisé ses commandants à utiliser les armes chimiques à leur propre initiative. Or le commandant de la région de Bassorah est un cousin de Saddam, Ali Hassan al-Majid. L'homme, connu sous le nom de "Alile chimique", a mené la campagne de 1998 contre les rebelles kurdes, qui avait tué des milliers de civils.
Pour éviter toute attaque à l'armement chimique ou conventionnel, les forces américaines et britanniques présentes au Koweït traverseront probablement la frontière peu après le début de la guerre pour prendre Bassorah, contrôler la zone et empêcher l'armée irakienne d'attaquer les troupes marchant sur Bagdad.
Selon les médias britanniques, cette opération pourrait être menée par les troupes britanniques, une tâche déjà accomplie par l'armée de Sa Majesté en mai 1941: la Grande-Bretagne avait alors envahi l'Irak pour renverser le gouvernement nationaliste pro-arabe du pays.
En revanche, la prise de Bagdad représente un défi autrement plus ambitieux. Capitale étendue, avec plus de cinq millions d'habitants, elle est dôtée d'un système de défense aérien relativement sophistiqué et protégée par trois divisions de gardes républicains -dont 10.000 à 12.000 soldats de la Garde présidentielle- ainsi que des milliers de membres des forces de sécurité.
Les forces irakiennes ont déjà creusé des tranchées et contruit des buttes de défense dans la banlieue de Bagdad. Ils ont renforcé les positions des troupes avec des sacs de sable et versé de l'huile ou du gasoil dans les tranchées: ils pourraient y mettre le feu pour contrer les attaques aériennes avec un écran d'épaisse fumée.
Si ces faibles tactiques de défense gêneront peu les troupes américaines, dotées de techniques de pointe, l'éventualité d'une guérilla urbaine dans Bagdad peut s'avérer dangereuse pour les civils irakiens et les soldats américains.
L'image des Etats-Unis pourrait en souffrir, sans compter qu'en cas de dispersion des forces irakiennes dans les ruelles de Bagdad, un scénario sembable aux combats somaliens en 1993 n'est pas impossible... De surcroît, l'opinion américaine supporterait mal la vision de "body bags" contenant les corps de GIs morts dans ce type de combats. AP
HIPPO tu oublie surement l'un des pire dans ton listing des pire dictateurs : Adolf H.
Hitler n'était que le "chef à la tête de son état"
Hitler était un dictateur. Il n'y a pas de discussion possible à ce sujet, cela colle parfaitemment à la définition du mot.