http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/09/20/l-ump-veut-des-jeunes-prets-a-se-battre-pour-la-france_1574976_823448.html#ens_id=1508557
Voilà ce qu'est un troll de niveau 85.
melbou (./27060) :
Voilà ce qu'est un troll de niveau 85.
r043v (./27063) :
http://www.pacitel.fr/
liste pour être blacklisté des démarchages téléphoniques
attention leur mail de confirmation arrive en spam sur gmail
Oui mais alors quoi?
Bovido (./27074) :
Les opinions publique ? Qu’est-ce que c’est que ces choses ?
Brunni (./27075) :
Depuis le début j'ai pas compris pourquoi les "bien pensants" utilisaient l'argument que les Européens stigmatisent le peuple Grec entier, et j'ai toujours de la peine à le croire, mais soit. Celui qui est pointé du doigt c'est le gouvernement, et sérieusement, que pourrait faire les Européens rapidement pour éviter d'empirer la situation, sachant que l'argent ne résoudrait pas forcément le problème à cause de la corruption? L'austérité ce n'est pas bien non plus. Oui mais alors quoi? Je me pose vraiment la question et j'ai peut être pas lu les bons journaux mais personne ne m'a apporté une réponse probante à laquelle m'attacher...
./27078Une sortie de la Grèce de la zone euro, accompagnée d'un défaut sur sa dette et d'une dévaluation de la drachme par rapport à l'euro.
Pour n'avoir pas été surveillée par ses pairs - au contraire -, la Grèce est un cas à part. Après avoir fait défaut, elle n'aura d'ailleurs pas d'intérêt à sortir de l'euro, ce qui entraînerait selon les traités sa sortie de l'UE.
Une réintroduction de la drachme, son ancienne devise nationale, conduirait, selon les économistes de Natixis, à une dévaluation de 55 % face à l'euro, ce qui mettrait aussi en défaut financier tout le secteur privé grec. Une crise "à l'argentine" et un chaos économique et social s'installeraient dans ce pays en attendant qu'il puisse remonter la pente.
Un tel détricotage de la zone euro favoriserait la contagion et l'explosion de la monnaie unique, avec des coûts énormes. Ses partenaires devraient donc garder la Grèce et l'aider à se relever. "Réussir" un défaut grec suppose donc de réorienter les sommes qui avaient été prévues pour gagner du temps vers d'autres investissements.
La sortie de la Grèce de l’euro assortie d’une dévaluation de plus de 50% :
- aurait un effet dramatique à court terme sur l’économie grecque, mais un effet positif à long terme, y compris sur la croissance potentielle ;
- génèrerait pour les autres pays de la zone euro, une perte comparable au coût de l’aide à la Grèce.
[…]
Le vrai sujet est donc ailleurs : si la Grèce sort de l’euro :
la crise des dettes souveraines de la zone euro s’arrête-t-elle ? ou au contraire devient-elle bien pire en raison de la contagion (Portugal, Irlande, Italie, Espagne) ? Les investisseurs peuvent en effet se dire que, si le traitement utilisé lorsqu’un pays de la zone euro est en grande difficulté avec ses finances publiques est la sortie de l’euro, pourquoi ne serait-il pas utilisé pour d’autre pays ?
Ce risque catastrophique ne donne pas envie d’essayer de faire sortir la Grèce de l’euro.
Brunni (./27079) :
Oui enfin un défaut de la dette c'est quand même dangereux, on sort tout juste d'une crise quoi...
Pis sortir la Grèce de la zone Euro ça ferait perdre la confiance en la monnaie, et éventuellement éclater l'UE.Ceci dit c'est vrai que pour la Grèce seule c'est la moins mauvaise des solutions...
Yoshi Noir (./27073) :
« Moi, Margin, Grecque, mère célibataire précaire, que les opinions publiques de l'Europe de l'Ouest veulent me voir crever »
Sally (./27085) :
C’est triste de confondre l’Europe de l’Ouest et l’Europe du Nord
Brunni (./27079) :(On en est sorti ?!)
Oui enfin un défaut de la dette c'est quand même dangereux, on sort tout juste d'une crise quoi...