
Colas (./57) :
Or, quand l'Unef sont allés négocier avec Pécresse, alors que c'était les porte-paroles de la coordination nationale qui étaient légitimes car représentatifs du mouvement, les représentants de l'Unef ont porte LEURS revendications, sans se préoccuper de celles du mouvement.
Colas (./57) :
C'est un bon exemple, non ? Ou alors tu vas me dire que Bruno Julliard est allé manger des petits fours avec Pécresse pour lui demander le retrait de la LRU...
Colas (./66) :On ne parle pas de ça. Sud a bougé pour la LRU, mais ne peut rien reprocher à l'UNEF au niveau des négociations, puisque Sud n'a pas cherché à contacter le gouvernement.
Tu as surement raison, SUD ne fait rien dans les luttes, heureusement que l'Unef est là. Tiens, tu n'as qu'à reprendre cette banière animée, elle devrait te plaire
Colas (./68) :
Je t'ai rappelé que vous prétendiez intervenir dans les conseils nationaux et locaux pour porter les revendications des étudiants et de la jeunesse.
c'est toi!
je dis que les représentants de la coord n'ont jamais demandé de se faire recevoir par la ministre, et surtout n'ont jamais voulu entendre parler de négociation.
Et puis il faut avouer, pour finir, que nous avons obtenu des trucs, vraiment au moment où le mouv commençait à s'essoufler, sachant qu'on n'a jamais réussi à être majoritaire dans l'opinion étudiante ou autre, condition minimale pour le retrait d'une loi.
e lire aldaran, tu es plutôt borné
Moi je suis allé à une, et on n'a pas effleuré une fois la question de demander une audience à la ministre ou quiconque.En même temps, les portes-paroles de la coordination servaient à ça... et il n'ont pas été invités en même temps que l'UNEF, c'est dommage. Ca doit quand même bien arranger les gouvernement d'avoir des syndicats qui sont si pressés de terminer un mouvement pour "obtenir qqchose avant que ça ne soit trop tard" (je dis pas ça spécifiquement pour les syndicats étudiants) ...
Colas (./82) :
ne nous réjouissons pas trop des "avancées" qui remettent en question les bourses pour les handicapés, des plans consistant à vendre une partie d'EDF pour privatiser dix facs d'élite en laissant les 75 autres sur le carreau, ou ceux consistant à demander aux universités des heures de cours supplémentaire, en nombre variable selon les fillières, et sans en donner les moyens. Perso, comme "avancées", je trouve ça relatviement limité ... on voit bien aujourd'hui les résultats des "avancées" obtenues lors de la lutte contre le CPE : la gratification obtenue à ce moment-là est appliquée d'une telle façon que les étudiants en carrière sociale risquent de ne plus pouvoir faire de stage, ni de valider leur année, etc.
Nous avons les mêmes revenus modestes et les mêmes charges, pourtant la bourse que percevra mon fils pour l’année 2008-2009 sera de 2 100 euros, contre 3 600 euros cette année. Handicapé à 80 %, il n’est pas question pour moi de trouver un boulot pour l’aider.» Le lecteur, qui a envoyé ce courrier à Libération pour dénoncer le «scandale», n’est pas le seul dans ce cas. Le nouveau mode de calcul des bourses, officiellement destiné à simplifier les choses, a apparemment fait de nombreuses victimes. Selon l’Unef, 2 000 étudiants boursiers - sur 700 000 - vont voir leurs allocations diminuer à la rentrée prochaine. Et parmi eux, 2 000 devraient voir leurs bourses supprimées. Plusieurs critères, venant s’ajouter aux revenus des parents pour calculer les bourses, ont été supprimés, notamment celui de parent isolé et la situation de handicap. Le ministère admet qu’il peut y avoir des perdants, mais assure que le chiffre de l’Unef est irréaliste. Interrogée, Valérie Pécresse, qui se veut la «ministre des étudiants», a promis d’être «vigilante sur toutes les situations nées de la transformation du système». Et rappelé qu’en janvier, elle avait augmenté de 7,2 % les bourses des 100 000 étudiants les plus défavorisés.
20 000 étudiants vont être touchés, dont 2000 qui vont perdre leurs bourses.