Bonjour.
Dans ce topic, je vous poserai des questions sur les recruteurs, mais n'hésitez pas à vous approprier ce sujet en posant vos propres questions également
Je vais commencer par mes questions, et ensuite si ça peut vous aider j'ai exposé mon cas.
1) Si on a eu plusieurs mois ou années sans avoir travaillé dans l'informatique, est-ce qu'on est mort professionnellement, ou est-ce qu'il y a moyen de regrimper progressivement les échelons (sans devenir fonctionnaire de l'éducation nationale, Nil )
2) Est-ce qu'une thèse est mal vue si elle n'est pas directement liée à la technologie dans laquelle vous voulez travailler ? (par exemple je fais une thèse sur les applications multilingues et ensuite je postule pour un poste dans la synthèse vocale)
3) Si on se retrouve devant un recruteur qui aura eu l'ouverture d'esprit de ne pas jeter votre CV à la poubelle malgré le trou de 3 ans dans ce CV, qu'est-ce qui pourrait compenser ce trou pour l'ammener à vous engager ? (à part lui promettre que vous vous êtes tenus au courant des évolutions technologiques en lisant la presse et les blogs spécialisés)
4) Offrez-moi une corde
5) A suivre...
Pour situer un peu mon cas, j'ai fait un bac S (les maths, c'est le bien ) et ensuite, après une année indéfinissable en prépa HEC j'ai fait une licence d'anglais. Depuis un certain temps, je prévois de m'orienter vers la linguistique informatique, qui fait le lien entre mon goût pour les choses mathématiques et les langues (flemme d'expliquer ce que c'est : http://fr.wikipedia.org/wiki/Traitement_automatique_des_langues )
Donc, l'an prochain je vais faire un master en informatique (orienté pratique) à Glasgow, cf. programme : http://www.gla.ac.uk/postgraduate/taught/ims/informationtechnology/
Et ensuite je compte sans doute me lancer dans un master en linguistique informatique.
Le seul problème, c'est que j'aimerais ne pas m'enfermer dans la filière informatique ou informatique/linguistique (j'ai d'autres centres d'intérêt aussi), mais je ne me rend pas compte dans quelle mesure c'est possible.
Je ne pense pas être en mesure de pouvoir travailler en free-lance si ça implique de se vendre 100 fois plus souvent que pour une recherche d'emploi normale, donc mon salut dépend de ces méchants recruteurs.