Déjà, c'est « gens du voyage ». Eux-mêmes détestent qu'on les appelle « gitans ». Ensuite, ça dépend de l'endroit et de comment on les prend… Si t'es un brave gars qui sympathise avec eux, en effet, ça ne peut se passer que bien.
Cependant, je vais vous narroyer une anecdote qui s'est passée il y a un an.
Un jour, il y a eu une descente de gendarmerie dans un camp de gens de voyages après un tir accidentel sur une automobiliste (
C'est là, vous vous en souvenez ?). Tireurs écroués, campement décapité, enquête terminée, tout est bien qui finit bien, youpi youplaboum.
Sauf que peu après ça, on a remarqué en ville une recrudescence de l'activité des femmes qui n'ont pas été écrouées. Des promenades dans les rues résidentielles avec enfant en poussette a priori innocentes. Ce qui est plus bizarre, c'est quand elles s'arrêtent devant certaines maisons. Celles où personne n'est sorti vers son jardin. Recrudescence de propositions de services de rempaillage surtout auprès des personnes âgées. Quadrillage des mêmes quartiers résidentiels par des fourgons blancs au moins une fois par jour.
À ce moment-là, j'étais en
service gratuit stage dans ce magasin de réparation d'ordinateurs. Un homme et une femme des gens du voyage, en voiture, qui s'arrêtent devant le magasin et qui remarquent un ordinateur portable à prix baissé. La femme remarque la chose, descend de la voiture et entre dans la magasin. Et qui commence à monter tout un système pour payer une moitié par chèque sans pièce d'identité d'abord, puis payer la moitié restante plus tard, tout ça pour que son ami resté dans la voiture ne voit pas qu'elle a acheté le portable alors qu'il assiste à toute la scène devant ses yeux… Woh woh woh woh, où on s'embarque là ?
Je veux bien penser qu'ils ne sont pas tous comme ça, mais je reste dubitatif…