Voici juste mon point de vue sur la question:
1°) Communisme, marxisme, etc. : "Je crois savoir qu'Historiquement" (je commence comme ça parsk'on est peut-être tous dans le matrix et que c'est peut-être tout de l'intox) la premiere application de modèles s'apparentant au communisme, fut dans des villages de volontaires au début du siècle (le XX°). Un vrai succès, paix amour travail fraternel mais pas de money, la ruine, parske partout autour c'est l'éconnomie de marché, et côté concurence, la communauté des "E.T." c'est pas ça. Alors si un seul village "communiste" n'est pas concurenciel, toute l'éconnomie doit se convertir à ce model et ça ira => URSS (et CHINE etc.). Le problème est alors celui de la révolution : tout type integre plein d'idéal qui acquière le pouvoir sur un truc de la taille de L'URSS deveint forcément un tyran (et LENINE était déjà au départ plus un révolutionnaire sanguinaire qu'un idéaliste communiste) => repression, bains de sang etc. Belle récupération d'un idéal louable. (d'ailleurs, Sadam en son temps fut aussi un révolutionnaire laique réformateur...)
Bon en France, rien de tous ça depuis 1789 (en gros, à part les détails de l'Histoire).
Et le PS ? (je ne parle pas de la LCR et Laguiller qui chantent l'internationnale et disent que la droite et la gauche c'est pareil, mais que eux par contre ...). Le P.S. donc, en est peut-être encore à la vision d'une société industrielle et non d'une société de services (et de consommation) (ex: les 35 heures: ils ont repris le system qui a sauvé la siderurgie allemande, en pensant que dans tous les dommaines de notre éconnomie si chacun travaillait moins, on pourrait être plus nombreux à travailler). On reproche souvent à la gauche (pas forcément à tort) de monter trop les impôts et de ruiner l'économie, mais je préfère ça au modèles US sans sécu, SMIC, RMI, retraite ...(à peu de chose près), et j'ajouterai qu'avec fabius c'était pas vraiment le genre de politique qu'on avait (relative baisse des impôts, privatisations, etc.). Je dirais qu'une partie d'une PS actuel (Fabius, Straus-Kahn, et j'en oublie) consitue avec l'UDF le 'centre' et vivement qu'ils s'unnissent.
2°) Et finallement, quel modèle pour les terriens que nous sommes?
Je trouve la question capitalisme/communisme stérile et emprunte de démagogie manipulatrice (la provoc à le mérite de faire réflechir). Le probleme est que le citoyen moyen ne sait rien de la politique, de l'éconnomie, de la diplomatie, de l'Europe et vote quand même. (ex: les tracts des manifestants de l'éducation nationnalle montrent à quel point il n'ont aucune de la réforme se préparant et sont en décallages totale avec la faible information circulant sur le sujet dans la presse écrite par exemple, mais là c'est peut-être aussi la faute à la communication gouvernementale). Alors faut-il que chacun vote sans savoir, sans aucun débat entre citoyen (à l'origine la démocratie Athénienne se basait sur les discussions auquelles prennaient part tous les citoyens, mais c'est probablement pas applicable à la totalité d'une ville (les citoyens étaient une minorité) et encore moins à un Etat). Si en revanche un homme s'octroit le pouvoir, la monarchie devient vite mégalomanie et tyranie. Faut-il alors un pouvoir "démocratique" réservé à une élite informé? Une anarchie (????

). Une solution serait peut-être un programme informatique bien foutu, on lui rentre les données, les objectifs, et il fait les choix pour nous, se basant une simulation fiable (avis aux programmeurs). Mais je ne parle pas des risques, et des rebeles qui n'accepteront pas d'être dirigés par informatique. Le mieux est peut-être que nous restions inertes, nouris et divertis, que ce soit comme les Rommains qui rafolaient du cirque ou comme les humains de matrix (à propos, j'ai pas encore vu le deux, il est bien ?)