very Le 04/12/2015 à 13:55 sauf qu'en cherchant, je n'arrive pas à trouver de centrales nucléaires en Syrie.
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard
La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.
Quand on lit ça, et si c'est vrai, un seul mot me vient quand je pense à nos gouvernants : trahison. Et la main sur le coeur, ils nous disent de voter pour eux dans deux jours, eux qui par amour désintéressés de la patrie, feront don de leur personne à la France pour redresser la barre. J'ai pas de mots pour exprimer mon mépris.
Poutine fait dans le bushisme ?
very Le 09/12/2015 à 15:28 Sauf que ça vient du parlement européen. (faudrait peut-être lire les news avant de les commenter ? )
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard
La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.
Pen^2 Le 09/12/2015 à 15:30 (En fait, le titre aurait suffit...)
Uther Le 09/12/2015 à 16:42Edité par Uther le 09/12/2015 à 17:35 Personne n'en a jamais douté : on sait depuis longtemps que tous les mouvements terroristes s’intéressent au gaz. De plus, on sait que Assad est équipé en matière de gaz dangereux, et qu'en temps de guerre civile, le matériel a tendance à se perdre, donc le risque chimique en Syrie est très bien connu.
J'ai toujours autant de mal à comprendre en quoi les gaz constituent une arme de destruction massive, ou plutôt quel critère est utilisé pour dire que telle ou telle méthode est une arme de destruction massive.
Je peux le comprendre pour une bombe nucléaire, qui a un rapport dégâts/encombrement imparable. Pour les gaz, il en faut quand même d'énormes quantités pour avoir un effet conséquent, tout comme les bombes classiques.
<<< Kernel Extremis©®™ >>> et Inventeur de la différence administratif/judiciaire ! (©Yoshi Noir)
<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant
Peut-être le côté non-chirurgical de l'arme ? Ca frappe une zone, pas une position militaire.
Pen^2 Le 09/12/2015 à 19:29 C'est surtout que c'est à la mode et que ça fait peur.
Pen^2 Le 09/12/2015 à 19:40 Moué, peut-être, mais je pense que ce terme est surtout un truc de journalistes.
Sinon je dirais que c'est plus difficile à contrôler, donc que ça effraie plus (un peu comme les fuites nucléaires, c'est plus ou moins invisible donc effrayant alors qu'une bonne vieille bombe, dès lors qu'elle a sauté on est tranquille.)
la notion est officielle et existe depuis très longtemps ^^
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<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant
Pen^2 Le 09/12/2015 à 20:47 Oui mais en quoi une arme chimique est plus massive qu'une bombe normale ? Ça rentre bien dans ce cadre ?
vince Le 10/12/2015 à 02:58 perso je vois deux types d'armes de destructions massive non "nukuléaire" :
- Celles aux gaz toxiques, comme le sarin ou le VX qui ne sont "massive" que par leur effet de zone... après, pour les chiffres, une tête de missile de croisière chargée de gaz VX, ça donne quoi sur une zone urbaine en rayon d'action ? (ce n'est pas une question réthorique)
- Celles bactériologiques avec création d'épidémie (bactériologique)
very Le 10/12/2015 à 03:29 ( et éventuellement virales, ciblant par exemple un type précis de population. )
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard
La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.
Je pencherai sur les côtés "épidémies", "contamination durable", et surtout la hantise des soldats de la WW1 jusqu'à l'arrivée des masques à gaz, "le souffle du vent". Quand une bombe tombe, on a une idée de l'effet localisé des dégâts, et de leur portée. Un gaz lâché peut se disperser largement, et plus encore de façon inattendue que même l'attaquant ne pourrait prévoir.
« Nous avons propagé sur Extranet une histoire fabriquée de toutes pièces selon laquelle une certaine disposition d'étoiles, vue depuis la planète d'origine des butariens, formaient le visage d'une déesse galarienne.
Sans chercher à vérifier ces informations, certains ont décrété que c'était la preuve de l'existence de la déesse. Ceux qui notaient le manque de preuves se faisaient attaquer. »
— Legion, geth trolleur à portée galactique
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