( même si il est tres extremiste) et l'autre était un dictateur sanglant
n'oublie pas que Bush n'a pas été élu Président des US

imbibinebe
:au pouvoir plus ou moins depuis 15 ans
aurait tu des doutes sur leur honnêteté envers le peuple américain ?
MacIntoc :
nonan>pendant les 10 ans de gvt Clinton, je pense pas qu'il y en ait eu beaucoup qui fasse actuellement partie du gvt Bush![]()
Bush père, ça fait quasiment 15 ans qu'il est plus président![]()
Pollux>il a était choisis par un tribunal américain.
Pollux
:n'oublie pas que Bush n'a pas été élu Président des USCa sort d'où cette connerie?
"Preuves massives" de laboratoires d'ADM en Irak (Blair)
AFP | 16.12.03 | 19h05
Le Premier ministre britannique Tony Blair a affirmé mardi soir disposer de "preuves massives" communiquées par l'Iraq Survey Group de la présence en Irak de "laboratoires clandestins" qui, selon lui, pourraient avoir été utilisés pour fabriquer des armes de destruction massive (ADM)."Nous devons continuer le travail que nous faisons car l'Iraq Survey Group a déjà trouvé des preuves massives d'un vaste système de laboratoires clandestins", a déclaré M. Blair dans une interview au service en arabe de la BBC et à la radio des forces armées britanniques, retransmise par Sky News."Franchement, (la) possibilité (de la présence d'ADM en Irak) existe", a souligné Tony Blair, qui a également mentionné la découverte par l'Iraq Survey Group de "travaux de chercheurs, de plans pour développer des missiles balistiques à longue portée".L'Iraq Survey Group (ISG) est une équipe anglo-américaine composée de 1.400 scientifiques, experts militaires et du renseignement.
Hippopotame :
Je maintiens.
La Cour suprême a renversé le 12 décembre le verdict prononcé par la Cour suprême de Floride autorisant le nouveau décompte manuel des bulletins de vote de Floride, et désigné Georges Bush président.
L'Iraq Survey Group (ISG) est une équipe anglo-américaine composée de 1.400 scientifiques, experts militaires et du renseignement
Hippopotame
: Techniquement, il n'a pas été élu.

)
La dernière figurine en vente pour Noël : "Saddam prisonnier"
AFP | 16.12.03 | 16h41
Juste à temps pour Noël, l'arrestation de Saddam Hussein a permis à un fabriquant de jouets américains d'éditer une nouvelle figurine barbue et hirsute, "Saddam prisonnier", déjà en vente deux jours après la diffusion des images de l'ancien dictateur irakien. "Nous l'avons eu", annonce sur son site internet la société Herobuilders, reprenant les mots prononcés dimanche par l'administrateur civil américain en Irak Paul Bremer. "Nous sommes très heureux de pouvoir réagir à de nouvelles circonstances mondiales en 24 heures", ajoute la société, qui affirme que "chaque figurine est moulée et peinte à la main ici, dans les bons vieux Etats-Unis". Sa taille est d'une trentaine de centimètres. La société, qui se spécialise dans les jouets à connotation politique, vend aussi de macabres figurines du cadavre du fils de Saddam Hussein, Oudaï, un George W. Bush re-musclé, un chef terroriste Oussama Ben Laden, et un Saddam Hussein en version "Boucher de Bagdad", accompagné si on le souhaite d'une panoplie sado-maso. Parmi des personnages européens, le chancelier allemand Gerhard Schroeder est représenté en tenue de camouflage et le président français Jacques Chirac, surnommé "the ver de terre" ("le worm"), en pimpante tenue de soubrette.

"Les Irakiens tentent de rassurer les entreprises françaises
LE MONDE | 16.12.03 | 13h10
Une délégation du gouvernement intérimaire irakien a rencontré des patrons au siège du Medef, lundi 15 décembre à Paris. Elle souhaite voir la "France jouer un rôle dans la reconstruction". Les sociétés optent pour la prudence, en attendant la stabilisation du pays.
Une délégation politique irakienne conduite par Abdel Aziz Al-Hakim, président du Conseil de gouvernement intérimaire, a tenté de rassurer les industriels français réunis au Medef.
Plutôt rassurées mais néanmoins prudentes. Tel est, en substance, le sentiment partagé par les quelque 80 entreprises françaises qui ont rencontré, lundi 15 décembre au siège du Medef, la délégation politique irakienne conduite par Abdel Aziz Al-Hakim, président du Conseil de gouvernement intérimaire.
Tout juste arrivée en France pour rencontrer le président Jacques Chirac et le ministre des affaires étrangères Dominique de Villepin, cette délégation a commencé sa visite parisienne par le Medef. Dans une salle de réunion, à huis clos, face à un parterre de grandes sociétés (Total, Schneider Electric, Case-Poclain...) et de PME intéressées par le marché irakien, M. Al-Hakim a d'emblée marqué une certaine distance face à la coalition américaine : "Notre objectif est en premier lieu de mettre un terme à l'occupation de l'Irak via le transfert des autorités aux Irakiens le plus rapidement possible."
Dans le même discours d'introduction, rapporté par plusieurs témoins, il a ajouté : "Aujourd'hui, nous nous adressons à nos frères en France, et étant donné leur longue expérience et la relation passée avec le peuple irakien, -nous les invitons- à participer à la reconstruction de l'Irak, à venir -y- travailler." Un peu plus tard, dans cette réunion de presque deux heures, cette même idée sera répétée par le ministre du plan, Mahdi Al-Hafez : "Nous sommes très intéressés de voir la France et les sociétés françaises jouer un rôle important dans la reconstruction de l'Irak."
Des propos qui cherchaient visiblement à toucher une assistance d'entrepreneurs pour le moins refroidis par les récentes déclarations de l'Américain Paul Wolfowitz, numéro deux du Pentagone.
La France a été, ces dernières années, un partenaire économique important de l'Irak : dans le cadre du programme "Pétrole contre nourriture", géré par les Nations unies, près de 2,4 milliards d'euros de contrats français ont été signés entre 1996 et 2002. Parmi les plus importants, ceux d'Alcatel, de SDMO, de Renault Trucks ou encore de Peugeot (Le Monde du 1er avril). Pour rassurer les entreprises françaises sur leur capacité à profiter de prochains contrats, le ministre irakien du plan a apporté des précisions : certes, l'attribution des 26 contrats de reconstruction, financés sur des fonds américains, serait décidée selon des critères américains. Pour autant, "aucune condition n'est posée sur les entreprises de sous-traitance".
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"Je suis heureusement impressionné par cette rencontre, a expliqué, à l'issue de la réunion, Thierry Courtaigne, directeur général du Medef International. Les entreprises françaises sont présentes depuis plus de trente ans en Irak. Si elles savent s'adapter à la nouvelle donne, elles ont largement leur place." Un optimisme partagé par Ernest-Antoine Seillière, président du Medef : "L'arrestation de Saddam Hussein est de nature à faire évoluer la position des uns et des autres. J'ai bon espoir que les règles du jeu, qui excluent les entreprises françaises, évoluent." ......

Notre objectif est en premier lieu de mettre un terme à l'occupation de l'Irak via le transfert des autorités aux Irakiens le plus rapidement possible
Nous sommes très intéressés de voir la France et les sociétés françaises jouer un rôle important dans la reconstruction de l'Irak