Un peu de neuf du côté de l'ancienne : j'ai remis les pattes sur la bête samedi.
Au programme, fin de démontage des garnitures intérieures et du ciel de toit
A l'arrière, les mites avaient fait le gros du boulot, mais il fallait quand même dépiauter ça proprement.
On découvre l'armature de la caisse et la tôle, avec à peine un peu de fleur de rouille dessus là où elle n'était pas goudronnée. Une paille...
Et puis le ciel de toit, mangé, troué, que j'essaye de retirer sans trop le déchirer pour le conserver en modèle
J'essaye de prendre des photos au fur et à mesure pour me rappeler du montage, quand ça sera l'heure. Tout est monté de l'arrière vers l'avant, en pointant progressivement sur la structure bois le petit rabat en toile blanche qui sert à tenir l'ensemble bien tendu et bien appliqué, laize après laize, jusqu'au pare-brise.
Ca vous donne une idée de la multitude de pointes et de clous rouillés que je vais devoir retirer de l'armature....
Dans le genre jeu de patience, j'ai également attaqué le vinyle du toit.
Pour le moment, j'ai réussi à retirer tout le joint carambar du profil alu qui borde la toile de toit. Déjà, ça, c'est un bon entrainement à la zénitude...
Ensuite, il faut patiemment fraiser ou meuler, comme on le peut, la tête des pointes complètement rouillées qui tiennent cette baguette en place.
Ca permettra ensuite d'accéder aux pointes qui tiennent le vinyle, et espérer un démontage propre. Vous imaginez bien qu'avant de remonter quoi que ce soit, il aura fallu éliminer autant de pointes que possible, pour ne pas laisser de ferraille rouiller à cet endroit déjà, et ne pas être trop embêté pour le remontage.
Pour l'heure, j'ai fait presque entièrement un côté de la voiture. Reste l'autre côté, avant de tenter de décoller le jonc alu sans l'esquinter.
Quand il n'y en a plus, il y en a encore