Les volumes des exportation de l’Est à destination de l’Europe diminuent. Berlin et Rome dénoncent les représailles d’un «despote».Bin on n'arrête pas de dire qu'on veut arrêter d'en acheter ; ça tombe plutôt bien, non ?
flanker (./64830) :Le truc, c'est qu'on aurait aimé pouvoir faire ça a notre rythme, pour limiter les conséquences. Là, c'est la Russie qui nous impose le calendrier. Vu qu'on a clairement annonce qu'on allait se passer d'elle, elle prend les devants pour nous emmerder.
Bin on n'arrête pas de dire qu'on veut arrêter d'en acheter ; ça tombe plutôt bien, non ?
The_CUrE (./64831) :Je me demande si c'est pour ça que j'ai eu 3 baisses de puissance en 2 minutes y a quelques heures.Peu probable d'avoir des répercussions en France si vite. Le gaz est peu utilisé en France pour l'électricité et on a des stocks. La ou il pourrait y avoir des soucis, c'est sur le chauffage cet hiver.
On pouvait espérer que Poutine aurait pu pragmatiquement décider qu'il avait besoin plus besoin de l'argent que lui rapporte ce gaz que de nous mettre dans la merde.Mais au contraire, Poutine est pragmatique car il a beaucoup moins besoin de notre argent que nous de son gaz : la Russie gagne bien plus d'argent actuellement qu'au début de l'année (même sans nous vendre de gaz) et l'écroulement du cours du rouble promis par notre ministre de l'économie n'a pas eu lieu. En quoi serait-ce rationnel de sa part de nous faciliter la vie ?
Peu probable d'avoir des répercussions en France si vite. Le gaz est peu utilisé en France pour l'électricité et on a des stocks. La ou il pourrait y avoir des soucis, c'est sur le chauffage cet hiver.D'après GDF et Jancovici :
flanker (./64837) :Le cours du Rouble ce n'est pas la même chose que les revenus du pays. Même si l'économie Russe se porte bien (j'avoue que je ne sais pas si c'est le cas), le gaz c'est une sacrée source de revenus, et en temps de guerre c'est pas rien d'y renoncer.
Mais au contraire, Poutine est pragmatique car il a beaucoup moins besoin de notre argent que nous de son gaz : la Russie gagne bien plus d'argent actuellement qu'au début de l'année (même sans nous vendre de gaz) et l'écroulement du cours du rouble promis par notre ministre de l'économie n'a pas eu lieu. En quoi serait-ce rationnel de sa part de nous faciliter la vie ?
flanker (./64837) :C'est tout a fait ce que je disais. Je répondait à The_CUrE qui disait avoir des problèmes électriques actuellement : ce n'est certainement pas une conséquence de la décision Russe.
Autrement dit, pour 90% de son utilisation, le gaz ne peut pas être remplacé par autre chose. On risque donc au contraire d'avoir des vraies répercussions.
Uther (./64838) :À nouveau : les cours du gaz et du pétrole ayant explosé, la Russie peut se passer des ventes européennes en gardant de meilleurs revenus que l'année dernière.
Le cours du Rouble ce n'est pas la même chose que les revenus du pays. Même si l'économie Russe se porte bien (j'avoue que je ne sais pas si c'est le cas), le gaz c'est une sacrée source de revenus, et en temps de guerre c'est pas rien d'y renoncer.
Fun Fact du jour :
— François Narolles (@FNarolles) June 18, 2022
En 2005, #Greenpeace et la banque de la secte #anthroposophie Nef ont fondé #Enercoop, un vendeur d'électricité dont le but était de supprimer le nucléaire.#Thread ⬇️⬇️ pic.twitter.com/hBzKM6GST0
6 tourniquets éoliens installés dans le métro : une opération pour sensibiliser le grand public aux enjeux de la transition écologique et montrer qu’il existe partout des sources d’énergies vertes
1,5 milliard : c’est à peu près le nombre de passages annuels dans le métro parisien. Une affluence massive qui pourrait générer aussi une énergie considérable. C’est exactement ce qu’a décidé de montrer Iberdrola, leader mondial de l’énergie éolienne, en collaborant durant près d’un an avec 13 étudiants de l’école d’ingénieurs Junia basée à Lille. Ensemble, ils ont imaginé et créé des tourniquets de métro avec des pales d’éoliennes capables de générer de l’énergie à chaque passage. Le résultat : 6 tourniquets de métro d’un nouveau genre !
Esthétiquement, les barres ont été remplacées par des pales d’éoliennes : une manière d’illustrer les énergies renouvelables et de montrer immédiatement le nouveau rôle de générateur d’énergie verte de l’objet. À l’intérieur c’est tout un système, lui aussi inspiré des éoliennes grandeur nature, qui a été conçu afin de pouvoir produire de l’énergie à chaque passage. Le principal challenge technique a été d’arriver à créer de l’énergie avec un mouvement non continu et très court : un tiers de tour seulement par passage.
Pour sensibiliser les Français à l’impact de chaque geste de notre quotidien et au bénéfice des énergies renouvelables pour l’environnement, Iberdrola a installé ces tourniquets au cœur de la station de métro Miromesnil du 15 au 16 Juin. Ce sont les premières éoliennes sous terre du monde ! Avec cette initiative innovante, Iberdrola souhaite montrer au plus grand nombre qu’il existe des sources d’énergies vertes exploitables autour de nous. « Avec ce prototype installé au cœur du métro, Iberdrola s’invite dans le quotidien des Français pour leur donner un aperçu créatif et pédagogique de notre mission : fournir une énergie verte, locale et au plus grand nombre. Collaborer avec des étudiants était également important pour nous, ce sont les ingénieurs de demain, qui devront relever des défis énergétiques de plus en plus complexes », commente Reginald Thiebaut, Directeur Général chez Iberdrola Énergie France.
C'est peu mais à moins d'imposer un mur en guise de tourniquet c'est tout ce qui peut être fait et c'est déjà pas si mal de récupérer cette énergie gratuite.
Les résultats sur 2 jours avec 6 prototypes dans 1 station :
27 000 passagers de la station Miromesnil ont généré 2 160 Wh (1 passager = 0,08 Watt-heure ou Wh)
Les résultats possibles sur 1 an avec un déploiement sur l’ensemble du métro parisien : 1,7 milliards de passagers = 136 MWh
‘Hit the kill switch’: Uber used covert tech to thwart government raids
The Washington Post
Twenty minutes after authorities raided Uber’s Amsterdam office in April 2015, Ligea Wells’s computer screen mysteriously went blank. The executive assistant tapped out a text warning her boss of another strange occurrence on an already eventful day.
“hi!” she typed in a message that’s part of a trove of more than 124,000 previously undisclosed Uber records. “My laptop shut down after acting funny.”
But her computer’s behavior was no mystery to some of her superiors.
Uber’s San Francisco-based chief executive, Travis Kalanick, had ordered the computer systems in Amsterdam cut off from Uber’s internal network, making data inaccessible to authorities as they raided its European headquarters, documents show.