Brunni > dans un texte A, je vais utiliser des macros pour chaque notation.
Par exemple, \nProc pour le nombre de processeurs, \nTask pour le nombre de tâches, ... Et en début de fichier, j'ai juste un
\newcommand{\nProc}{n}
Si jamais je veux utiliser p au lieu de n pour le nombre de processeurs, j'ai seulement une ligne à changer.
Très pratique quand on a pas mal de notations complexes et qu'on a du mal à se mettre d'accord sur la meilleure, ou qu'on veut réutiliser du texte avec des notations différentes.

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<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant
Brunni Le 28/08/2010 à 06:58Edité par Brunni le 28/08/2010 à 07:15 Haaa mais Kevin Kevin Kevin. Heureusement que les autres sont là pour te fournir des arguments! Evidemment que faire l'équivalent des macros sous Word est difficile voire impossible, mais de base on répondait à ton argument (en mousse), qui disait que tous les traitements de texte sont dans les choux lorsqu'il s'agit d'écrire des équations. Or avec Word 2007 ce n'est pas plus compliqué qu'avec Latex, c'est tout.
(d'autant que Word peut faire tourner du code VBA depuis des plombes, si ça tombe on pourrait très bien faire quelque chose de similaire aux macros de cette façon)

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GT Turbo Nil Le 28/08/2010 à 09:17 Je ne cherche même plus à argumenter...
Le concept de balise n'est pas cohérent avec le WYSIWYG, à moins de laisser une vue sur le fichier "raw" derrière.
Par contre on pourrait effectivement imaginer définir ces macros comme propriétés du document. Et ensuite tu fais "insérer champ" et là tu donnes le nom de ta macro, et sa valeur évaluée apparaît en surbrillance pour indiquer qu'il s'agit d'un champ, et tu peux modifier sa formule par la suite un peu comme dans Excel. L'UI (saisie des macros) aurait à être bien pensée par contre.
Oui, je parlais de l'implémentation pour le format de fichier.
Pour l'UI, on peut très bien imaginer des raccourcis clavier (genre tu commences à taper \, ça va te proposer la liste des macros...). Je ne pense pas que cela soit si compliqué.

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<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant
Y a-t-il une distrib qui requiert moins de 28 Go sur un disque pour l'installer ? Car il me reste qu'un SSD de 30 Go pour installer Mandriva sur mon fixe, mais il me jette car soit disant qu'il n'y a pas assez de place... tandis que je l'ai installé sur un disque de 250 Go sur le portable et la partition système fait que 12 Go...
A part ça je ne sais pas pourquoi certaines distro - une grande majorité apparemment - tiennent absolument à avoir 4 partitions: /boot, /, /home et swap. Non seulement ça rend l'installation impossible pour ceux qui utilisent encore le système de partition de base (typiquement si on avait Windows) mais en plus ce n'est pas bien utile. Et pour la virtualisation c'est une catastrophe... sur 8 Go ça te propose genre 500 Mo pour tes données, 5 Go pour les progs, 2 Go de swap et 100 Meg pour le boot, des valeurs facilement sous optimales.
Ce serait bien mieux de faire comme MS: faire en sorte de pouvoir avoir confiance en son FS, et tout foutre sur une partition. Et pour les performances, ajouter un défragmenteur, bon sang!!! Parce que Linux et OS X c'est bien joli, mais qu'est-ce que ça ralentit après un ou deux mois d'utilisation!
Séparer /home et / est une bonne chose pour plusieurs raisons, et c'est valable aussi bien pour Windows que pour Linux (et probablement OS X, mais je n'en ai jamais installé).
La raison la plus immédiate est la nécessité d'upgrades ou réinstallations. Dans le cas de Windows, je connais des installateurs qui, pour des PCs familiaux, séparent le système et les documents - c'est plus pratique quand il faut reformater l'OS une fois par an parce que les utilisateurs familiaux tournent toutes leurs applis en root, ne font pas les mises à jour de sécurité, installent des softs qui s'avèrent avoir des adwares/spywares/virus, etc. etc. Résultat, des virus tenaces (j'ai vu des rootkits => réinstallation obligatoire de la machine car on ne peut plus lui faire confiance, c'est valable quel que soit l'OS) non détectés par la plupart des anti-virus (ils sont à peu près tous aussi mauvais les uns que les autres).
Citons aussi le fait que si ce sont des partitions séparées (à des endroits différents du disque), la récupération des données en cas de certaines pannes du disque est meilleure moins mauvaise.
Séparer /boot et / sert surtout à ceux qui installent plusieurs distros et changent tout le temps.
Quant au swap, avoir une partition séparée a des avantages et des inconvénients. La nécessité d'avoir du swap dépend de la quantité de RAM de la machine, quel que soit l'OS. Au-delà de 256 MB de RAM, la ""règle"" qu'on trouve malheureusement encore assez souvent, "2 fois plus de swap que de RAM", est ridicule. Au-delà de 2 GB de RAM, sauf utilisations particulières (certains calculs de grille gourmands en RAM, etc.), c'est assez rare d'avoir besoin de swap.

vince Le 29/08/2010 à 13:09 de contenir les images qui ne sont pas utilisées par le boot
C'est bon je suis arrivé à l'installer, en fait il fallait passer en mode expert pour le partitionnement et supprimer la partition du disque SSD avant de pouvoir lancer la config automatique du partitionnement.
Par contre il y a un truc que je n'ai pas compris : c'est le boot entre Windows et Linux. Maintenant quand je veux booter Windows j'ai un truc du type "bootmgr absent ctrl+alt+suppr pour redémarrer. Je suis obligé de mettre en prioritaire le disque qui contient Linux pour le boot dans le BIOS.
Alors question... si je vire les partitions Linux du disque SSD où j'ai installé Mandriva, est-que Windows va encore pouvoir booter ?
Sur sur mon fixe Mandriva c'est une cata : pas de détection de ma carte graphique et l'écran principal n'est pas détecté non plus.
Edit : j'ai débranché mon disque SSD avec les partitions de Mandriva et effectivement plus moyen de booter Windows.
Je suis obligé de rebrancher le disque pour qu'il puisse passer par le GRUB.. mais physiquement je ne comprend pas où il s'installe... je pense sur la partition boot du Linux... mais qu'est ce qui fait le lien entre le BIOS et le GRUB ? Est-ce qu'il est possible que je revienne comme avant, c'est à dire de booter directement sur Windows et non par le GRUB.
Et enfin est-ce que le grub peut permettre de faire péter la protection des tatouages sur les ordi portable ? (genre on pourrait installer windows après avoir installer Linux et vu que c'est le GRUB qui prend le relai pour lancer l'OS ça passerait par dessus le système de tatouage)