Ces musulmans qui pourrissent la planète troll inside - Page 19

Alors ça vient d'où ce trop débile ? Ce goût pour la baston que n'ont pas les femmes ? Cette volonté de conquête ? On a jamais vu une femme à la tête d'un empire aller conquérir un continent, c'est juste culturel ça ?

« une société ne peut pas se permettre de trop en sacrifier, sinon elle court à sa perte »

Folco : Euh, en même temps c'est pas comme si les femmes en avaient la *possibilité* T'as déjà vu une femme avoir une fonction sociale autre que de s'occuper des gosses ou de travailler à l'usine avant le 20ème siècle ?

oui : Jeanne d'Arc

La question ne s'adressait pas à toi

La reine Victoria

Olympe de Gouges

La princesse Leïa

(Et, plus sérieusement, la Kahina, ou même Margaret Thatcher, qui a quand même mené la guerre des Malouines - même si c'est pas vraiment de la conquête, je l'avoue)

Pen^2 (./546) :
La reine Victoria

Elle a juste réussi à faire bander le bon, elle a pas fait un coup d'état pour y arriver ou assimilé ^^

Nil (./548) :
Margaret Thatcher

La guéguerre des malouines, difficilement comparable avec Alexandre le Grand

Ceci dit c'est sympa d'avoir répondu à l'appel, vous avez pété ce que disait Souane

Cléopatre était aussi puissante et tout aussi belliqueuse qu'Alexandre.

Folco (./549) :
Elle a juste réussi à faire bander le bon, elle a pas fait un coup d'état pour y arriver ou assimilé ^^

Ce qui prouve la supériorité de la femme dans les arts de la guerre, en fait

Ma soeur, aussi.

Nil (./551) :

Ce qui prouve la supériorité de la femme dans les ars de la guerre, en fait

Ben à part Jeanne d'Arc, on en étudie pas tellement en école militaire

Sally (./540) :

En tous cas, de toutes les sociétés que l'on connaisse, y compris les plus primitives, ce sont toujours des hommes qui vont à la guerre.

Bon sinon je voudrais pas dire mais c'est un peu aller chercher midi à quatorze heures que de vouloir des raisons psychologiques à ce fait social. Il me semble que, étant donné que les femmes portent les enfants et qu'elles ne peuvent en avoir qu'un nombre limité, une société ne peut pas se permettre de trop en sacrifier, sinon elle court à sa perte ; pour les hommes, c'est moins grave (tant que le nombre des sacrifices n'est pas trop énorme). Par conséquent c'est tout simplement un avantage stratégique que d'éviter autant que possible d'envoyer les femmes au casse-pipe, et ça suffit à expliquer que toutes les sociétés le fassent. C'est juste parce qu'ils sont pas trop débiles, c'est pas parce qu'ils sont programmés génétiquement...

Ils auraient aussi pu être programmés génétiquement pour que la durée de gestation ne soient que de 1 ou 2 mois, et que la période de fertilité des femmes dure toute leur vie, du coup les femmes auraient été moins « précieuses » et auraient pu partir à la guerre.
Bref, ce que je veux dire c’est que si les hommes ont choisi cette solution, c’est parce qu’elle est probablement la plus efficace au regard de leurs caractéristiques physiologiques (d’ailleurs tu n’as pas parlé de la différence de force hommes/femmes, qui, bien que moindre comparée à d’autres espèces, est tout de même présente), qui, elles, sont en grande partie déterminées génétiquement.

Folco (./553) :
Ben à part Jeanne d'Arc, on en étudie pas tellement en école militaire

La stratégie politique (donc faire bander la bonne personne au bon moment) fait partie intégrante des arts de la guerre

Oui mais faire la guerre à un slip ou à une armée, c'est quand même pas la même chose. (suis on a souvent tendance à perdre ce genre de batailles )

./540 > Je n'ai jamais dit l'inverse. C'était juste un constat.

Mais il y a probablement aussi des raisons symboliques : dans certaines circonstances, on prendrait bien quelques femmes de plus ou toutes celles dispo ( si par exemple la vie de la "cité" est en jeu), or on le ne fait jamais.

Il y a enfin une coïncidence avec les déterminisme physiques (et probablement psychiques pour l'agressivité et la violence très lié à la testostérone ). Physiquement, l'homme est bcp plus taillé que la femme pour se battre (torse disproportionné, muscles, testostéronne ). Ce qui est marrant, c'est que tu fais "comme si" le monde était créationniste : aller hop on est comme ça physiquement et on se débrouille avec....
Je ne te suivrais pas et pour me part je pense que culture et nature forment une "symbiose" chez l'homme, qui se sont développés *ensemble* pendant un bon bout de temps.
Mais effectivement la gestation humaine très spécifique, longue et épuisante (et elle se poursuit "ex utero" jusqu'à un an ou deux... ) a du être un facteur primordial dans le dimorphisme sexuel humain et la distinction sociale des genres. J'ai comme l'idée que la sélection sexuelle a aussi joué beaucoup...

Sasume (./554) :

Sally (./540) :

En tous cas, de toutes les sociétés que l'on connaisse, y compris les plus primitives, ce sont toujours des hommes qui vont à la guerre.

Bon sinon je voudrais pas dire mais c'est un peu aller chercher midi à quatorze heures que de vouloir des raisons psychologiques à ce fait social. Il me semble que, étant donné que les femmes portent les enfants et qu'elles ne peuvent en avoir qu'un nombre limité, une société ne peut pas se permettre de trop en sacrifier, sinon elle court à sa perte ; pour les hommes, c'est moins grave (tant que le nombre des sacrifices n'est pas trop énorme). Par conséquent c'est tout simplement un avantage stratégique que d'éviter autant que possible d'envoyer les femmes au casse-pipe, et ça suffit à expliquer que toutes les sociétés le fassent. C'est juste parce qu'ils sont pas trop débiles, c'est pas parce qu'ils sont programmés génétiquement...

Ils auraient aussi pu être programmés génétiquement pour que la durée de gestation ne soient que de 1 ou 2 mois, et que la période de fertilité des femmes dure toute leur vie, du coup les femmes auraient été moins « précieuses » et auraient pu partir à la guerre.Bref, ce que je veux dire c’est que si les hommes ont choisi cette solution, c’est parce qu’elle est probablement la plus efficace au regard de leurs caractéristiques physiologiques (d’ailleurs tu n’as pas parlé de la différence de force hommes/femmes, qui, bien que moindre comparée à d’autres espèces, est tout de même présente), qui, elles, sont en grande partie déterminées génétiquement.

Oui, c'est ce que je voulais dire, mais nul besoin d'aller chercher des différences *psychologiques* d'origine génétique pour l'expliquer ^^ les contraintes physiologiques influent sur l'organisation de la société qui influe sur l'éducation des jeunes qui va amener des différenciations psychologiques, non pas seulement entre les sexes mais entre les différentes classes sociales aussi¹, et plus ou moins marquées suivant les lieux et les époques.

¹d'ailleurs il y a bien des sociétés où la différence de sexe est en fait une différence de classe sociale... du coup « entre les sexes » devient superflu dans ma phrase ^^

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Folco (./517) :
Partant de cette différence, il ne me semble pas idiot de dire qu'une différence aussi radicale influe également sur le psychisme.

Ce n'est pas parce qu'un truc n'est pas idiot que c'est vrai...

Folco (./541) :
On a jamais vu une femme à la tête d'un empire aller conquérir un continent, c'est juste culturel ça ?

oui

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Sinon juste une question (ce n'est pas de l'argumentation, c'est juste que ça m'intrigue), est-ce que vous vous rendez compte que la plupart des arguments avancés en faveur d'une différence psychologique des sexes d'origine génétique s'appliquent exactement aussi bien et sans rien changer à la race
j'ai la flemme de tout recenser, mais « c'est aberrant de penser que des différences aussi prononcées qu'on en a entre les vikings et les pygmées ne touchent pas le cerveau. Il faut vraiment être créationniste pour justifier pareille croyance », ou bien « ils ont évolué dans des milieux différents avec des contraintes différentes, l'homme à la chassele noir dans la savane africaine, la femme au foyerl'inuit sur la banquise, ce qui a induit des différences physiologiques (le noir résiste mieux au soleil, l'inuit mieux au froid), mais aussi en toute logique psychologiques (ben oui chasser l'ours blanc ne fait pas appel aux mêmes compétences que chasser les antilopes, hein) », c'est exactement aussi pertinent...

Nil (./548) :
La princesse Leïa

(Et, plus sérieusement, la Kahina, ou même Margaret Thatcher, qui a quand même mené la guerre des Malouines - même si c'est pas vraiment de la conquête, je l'avoue)

Je ne connais pas bien l'histoire du Royaume-Uni, mais je pensais que Margaret Thatcher était du XXème siècle.

Sally > Oui mais non : les différenciations ethniques/raciales actuelles sont absolument récentes (en dizaines de milliers d'années au plus) et sans commune mesure avec l'énorme période de temps qui pendant lequel s'est affirmé le dimorphisme h/f.

Mais sinon oui c'est normal que les races divergent, c'est le processus classique de différentiation, et il ne fait nul doute que des différentiations à partir de l'homme toucheraient aussi le cerveau/etc. C'est juste que pour les races humaines, c'est absolument minime car très très récent.

Mais l'homme vient bien d'une famille naturelle très "buissonnante", et où les différences étaient également d'ordre cognitif et psychique.

Folco (./553) :

Nil (./551) :

Ce qui prouve la supériorité de la femme dans les ars de la guerre, en fait

Ben à part Jeanne d'Arc, on en étudie pas tellement en école militaire

Ptet parce que dans l'histoire les femmes spécialisées dans les arts de la guerre ont toujours réussi à ne pas laisser de témoins/à les dissuader de parler

Sally (./558) :
Sinon juste une question (ce n'est pas de l'argumentation, c'est juste que ça m'intrigue), est-ce que vous vous rendez compte que la plupart des arguments avancés en faveur d'une différence psychologique des sexes d'origine génétique s'appliquent exactement aussi bien et sans rien changer à la race

Tout à fait, ça te gêne ?
Mais, comme l'a dit very, les divergences au sein d’homo sapiens sapiens sont de l’ordre de 1 000 générations, ce qui est assez peu comparé au temps qui nous sépare de notre ancêtre commun avec homo neandertalensis (30 000 générations).

À partir du moment où tu isoles une population elle finit par se différencier des autres jusqu’à parfois engendrer une espèce différente. De notre côté tout ça tombe à l’eau avec la mondialisation

Non ça ne me gêne pas, mais je constate que suite à ma remarque l'argument s'est curieusement transformé, ce n'est plus l'importance de la différence physiologique qui implique une différence psychologique innée, c'est son ancienneté maintenant...
pourtant au cours de l'évolution humaine le dimorphisme sexuel a plutôt régressé, c'est étrange...

Sally (./563) :
pourtant au cours de l'évolution humaine le dimorphisme sexuel a plutôt rétrogradé, c'est étrange...

Ha bon ? Moi je trouve qu'il s'est accentué.

Sinon je n'ai pas changé d'un iota. Les différences physiques entre races sont elles-mêmes minimes. ( et c'est justement en lien avec la durée d'isolement... ). Y'a pas d'hormones nègres et d'hormones asiates, hein.

Oh, toi tu trouves que, ah bon alors...

Sally (./558) :
Ce n'est pas parce qu'un truc n'est pas idiot que c'est vrai...

D'ailleurs ça me rappelle quelque chose : http://www.xena.ad/lcf/atelier/centre/aristote.htm
Lui non plus n'était pas idiot...

Sally (./565) :
Oh, toi tu trouves que, ah bon alors...

Ben si le dimorphisme sur la taille p.ex a diminué, il s'est largement accentué sur le physique : la femme est incroyablement moins athlétique que l'homme, et surtout, surtout, remarquablement érotique avec p.ex des glandes mammaires prononcés en permanence... ( ce qui est complètement inutile a priori, voir même suisible )
Cela est très probablement lié à cette caractéristique étonnante et unique de l'homme, la non-visiblité des cycles ( donc et surtout des moments fertiles ) de la femme, qui est sûrement très lié à la sélection sexuelle. ( ça implique non seulement que le mâle doit baiser tout le temps; mais surtout ça distille un doute sur la paternité ^^ )

Flanker (./559) :
Je ne connais pas bien l'histoire du Royaume-Uni, mais je pensais que Margaret Thatcher était du XXème siècle.

very (./567) :
Ben si le dimorphisme sur la taille p.ex a diminué, il s'est largement accentué sur le physique : la femme est incroyablement moins athlétique que l'homme, et surtout, surtout, remarquablement érotique avec p.ex des glandes mammaires prononcés en permanence... ( ce qui est complètement inutile a priori, voir même suisible )

Ca, c'est assez débile comme argument : l'homme moderne est incroyablement moins athlétique que nos ancêtres, aussi.

Quant au côté érotique, c'est au moins aussi débile... en fait, quand tu regardes l'évolution des mammifères (même des mammifères envie, pas forcément au niveau de l'évolution dans le temps ; redescend jusqu'aux mammifères dans la classification phylogénétique), tu te rends comptes que plus tu vas vers une espèce primitive, plus les grandes mammaires sont prononcées (jusqu'au pis). Idem pour le pénis. Au contraire, l'évolution fait que les glandes mammaires humaines sont relativement petites. Et qu'elles ne sont pas prononcées en permanences (il y a une sacrée différence entre une femme qui allaite et une femme qui n'allaite pas).

C'est pas pour dire, mais en Angleterre les reines régnantes ne le sont jamais par mariage, donc un peu plus de respect pour Victoria, siouplé
Nos amis anglais, contrairement à nous, pratiquent depuis je ne sais quand l'hérédité réelle du trône, sans distinction de sexe. Le conjoint du monarque ne pourra jamais régner à sa mort. Ca passe par le sang, pas le mariage

(bon et ok vous m'avez hutte pour ma réplique sur les femmes )

Nil (./568) :
Ca, c'est assez débile comme argument : l'homme moderne est incroyablement moins athlétique que nos ancêtres, aussi.

non
Et ce qui nous intéressait était le dimorphisme sexuel, donc je ne vois pas le sens de ta phrase

Et la différence h/f sur la musculature/graisses/forme du corps/etc est purement innée. Sinon pardon -glandes mammaires -> +organes mammaires. Bref les seins quoi. C'est quand même bien connu que les caractères sexuels secondaires (surtout féminins) sont quand même très remarquables chez l'homme. (seins proéminents en permanence, taille étroite, voix, peau plus claire, graisse sous-cutanée, faible pilosité, ... )