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roll
et la le mec il le pécho par le bras et il lui dit '

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• Souane is reading Le Cid de Corneille, and liking it smile
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Gilles Leroy : Alabama song
Le Goncourt 2007... Mais bon sang ce que ça peut être pénible à lire ! J'espère que la suite est mieux que le début.
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La fin d'un monde souillé est venue. L'oiseau blanc plane dans le ciel annonçant le début d'une longue ère de purification. Détachons-nous à jamais de notre vie dans ce monde de souffrance. Ô toi l'oiseau blanc, l'être vêtu de bleu, guide nous vers ce monde de pureté. - Sutra originel dork.

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Pfff, j'avais pourtant mes chances tsss (grin)
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Autant je respecte le prix Nebula, le prix Hugo et plus récemment le prix du Lundi, autant le Goncourt, moins grin
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La fin d'un monde souillé est venue. L'oiseau blanc plane dans le ciel annonçant le début d'une longue ère de purification. Détachons-nous à jamais de notre vie dans ce monde de souffrance. Ô toi l'oiseau blanc, l'être vêtu de bleu, guide nous vers ce monde de pureté. - Sutra originel dork.

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Les prix littéraires, ça a toujours été une blague ^^

Bon j'ai la flemme de tout mettre à jour depuis mon dernier passage ici, surtout qu'avec les vacances... pfffiou.

Les principaux. Le second est encore en cours:

Charles Bukowski - Contes de la folie ordinaire
J'aime beaucoup. Surtout la première, La plus jolie fille de la ville. Peut-être une année que je n'avais pas lu quelque chose d'aussi... d'aussi remuant. Bukowski, ça parait tout con mais ça marche très bien parfois. Premier auteur américain que je commence à aimer.

Nicolas Bouvier - Œuvres.
Dont notamment l'usage du monde, la chronique-japonaise, le Poisson-Scorpion.
Tout est délicieux chez Bouvier, le monde qu'il découvre, la manière dont il le restitue, la géographie aux noms déjà vieillis qu'il parcours comme un passionné d'atlas (on vit la géographie en le lisant ), une époque plus ou moins révolue selon les lieux, déjà passée, perdue et mystérieuse, et puis enfin et surtout ses réflexions rares mais déjà très acérées, ses petites remarques tant en avance sur son époque, que le reste du monde a mis 50 ans de plus pour commencer à comprendre. (on y trouve notamment une remarque sur l'exportation du bonheur démocratique américain assez bluffante ) À 25 ans, il a déjà ce cynisme, ce recul et cette finesse de ceux qui ont tout vécu. Mais il a encore soif de vivre, il s'étonne encore.
Donc, plaisir littéraire, découvertes culturelles foisonnantes, réflexions et interrogations profitables mais légères, épisodiques, brèves, qui ne gênent en rien le récit, l'aventure, le roman presque. Il fait magnifiquement "voir ce qu'il a vu".
Il faut juste aimer lire et ne pas avoir besoin d'attendre à chaque fin de page un suspens dément pour savoir qui a tué le dernier personnage à la tronçonneuse.

edit: c'est mieux en fermant les balises ^^
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.

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T'as un peu abusé de la balise gras, là grin

• Souane lit Marrying Anita (a quest for love in the new India) d'Anita Jain. Ca se lit bien et c'est intéressant culturellement parlant (écrit par une américaine d'origine indienne, qui a la trentaine tente de trouver en inde après avoir été blasée de l'inefficacité du système de datage (cheeky) New-Yorkais hehe (enfin elle raconte cette histoire, mais je ne sais pas si c'est du vécu smile)
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/u]
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(post précédent cross) et /me] pour Souane.
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haha, pas faux grin
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• Fab_ lit La mélancolie de Haruhi Suzumiya par Nagaru Tanigawa

(enfin rerelit)
(20:50) Souane - Posté : 15-07-2004 | oué chui pas d'accord moi : y a qu'une seule perverse ici c'est moi ! Muahaha!!! #trivil#
(08:35) Nil - Posté : 03-03-2008 | OMG I think I'm gay
www.brumeries.info
SH33P OWNZ!!!
Haruhi Suzumiya is the only true God.
"Jesus was eaten by worms ~2000 years ago" ©un illustre inconnu

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Sans le "h" à mélancolie alors, si c'est bien de l'asiatique traduit français! wink
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Melancholy c'est en anglais ouais.
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"- Nigga you know what the fuck I want, nigga: I want your motherfuckin' Daytons, and your motherfuckin' stereo! And I'll take a double burger with cheese!
- WHUT?"
I LOVE TO HATE/I HATE YOUR LOVE -AND I CAN'T FEEL AFFECTION FOR PEOPLE LIKE YOU!
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..et melancholie en allemand si j'ai bien lu.
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Georges Orwell - La ferme des animaux
Intéressant, c'est le genre de bouquin idéal pour des fiches de lecture ^^
On peut se poser pas mal de questions: qui Benjamin représente-t-il? (les autres c'est assez évident) Comment les animaux acceptent aussi facilement les mensonges de Napoléon? L'"humanisation" des cochons était-elle inévitable? Est-elle inhérente au fait qu'il y ait des leaders, et donc l'anarchie est-elle la seule solution?
Ayant également lu 1984, j'ai remarqué le même style simple de l'auteur qui à chaque fois contrastait avec les mensonges du parti ou des cochons à grands renforts de mots compliqués. Je ne vise personne, mais il y a des gens ici qui font de même, en utilisant des mots et des concepts compliqués pour mettre fin au débat. C'est très instructif comme lecture.
Bref ce fut un bon sujet de discussions animées, à refaire le monde autour d'un pack de bières hehe autodérision inside

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melbou (./1275) :
Je ne vise personne, mais il y a des gens ici


drôle de phrase quand même
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

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Prétérition il me semble. tongue

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Vi c'est le Bien la prétérition trilove
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oué bon c'est parce que j'avais l'édition anglaise à la main embarrassed
(20:50) Souane - Posté : 15-07-2004 | oué chui pas d'accord moi : y a qu'une seule perverse ici c'est moi ! Muahaha!!! #trivil#
(08:35) Nil - Posté : 03-03-2008 | OMG I think I'm gay
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(bah nan, t'as pas mis "y" tongue)


(ok j'arrête)
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Karl Laske, Laurent Valdiguié - Le vrai Canard


Ou comment démontrer que le Canard Enchaîné a beaucoup d'arêtes dans son placard.
Amusant, à lire, et édifiant sur les bricolages, les intérêts et la chute d'un journal du satirisme au moralisme partisan.

(amusant aussi de lire comme Nicolas Beau, co-auteur du rigolo Une imposture française, livre-reportage anti-BHL, est un gros connard, bien que bakchiche.info soit un site intéressant)
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La course au mouton sauvage

excellent
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

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La Symphonie des nombres premiers, de Marcus Du Sautoy

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Depuis Pythagore et Euclide, une petite musique insistante empêche les mathématiciens de dormir : celle des nombres premiers (qui ne sont divisibles que par eux-mêmes) et de leur étrange distribution dans la suite des nombres " normaux ". Pour raconter les péripéties d'une recherche séculaire et expliquer ses enjeux, il fallait une plume capable de filer la métaphore et de camper les grands héros de l'histoire - Riemann, "Wagner " des mathématiques, Hilbert, virtuose incomparable, ou Ramanujan, jeune prodige indien sans aucune culture mathématique pour qui les nombres étaient des "amis personnels" -, mais aussi d'expliciter les mille applications potentielles d'une recherche on ne peut plus fondamentale. Un remarquable succès de vulgarisation.


Livre sympathique, qui montre un peu la vie de certains mathématiciens (surtout du XIXe et du XXe) tout en restant focalisé sur la conjecture de Riemann sur les zéros de la fonction ζ.
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<Vertyos> un poil plus mais elle suce bien quand même la mienne ^^
<Sabrina`> tinkiete flan c juste qu'ils sont jaloux que je te trouve aussi appétissant

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bon j'essaye de faire une MAJ complète, pour m'y retrouver moi-même, donc p-t que j'en ai déjà cité un ou deux vu que je n'ai pas tendance à lire linéairement. Je sépare pure littérature et reste


Essais, etc.


Alain Finkielkraut - Un cœur intelligent
Le Finkie qu'on aime, celui de la nuance, de la littérature; de la culture et de la retenue comme salut ( « un homme ça s'empêche », ..). Je l'ai acheté tout à l'heure ( en pensant à Nil ) puis lu ce soir, mais honnêtement ça ne vaut peut-être pas son prix ( 20&#x20AC; ), bien que l'on y trouve des réflexions et lectures inintéressantes. Ce qui m'a déçu, c'est l'aspect de bavard talmudiste, enchainant commentaires lucides et réflexions pertinentes mais sans jamais parler de ce qui est peut-être l'essentiel en littérature, à savoir le saisissement extraordinaire, l'émotion insaisissable, le voyage en abîmes, la puissance esthétique, le chamboulement de l'âme ou les larmes que provoquent les meilleurs textes. Pas de ça dans Un coeur intelligent: le mot « style » n'y figure pas une seule fois, l'émotion de la lecture n'est pas directement évoqué.
Finky se plaint des utilitaristes mais il a une conception désespérément utilitariste de la littérature, vu comme moyen de salut nécessaire mais pas toujours suffisant de l'homme. Je l'ai toujours plutôt perçue comme un moyen de perdition...


Régis Debray - Le Scribe
analyse et généalogie des intellectuels ( en partant des scribes, des clercs, ... ), de leur lien étroit avec le pouvoir, de leur fonctionnement, de leur rôle dans la société, donc interrogation sur la nature du politique. Dense, surprenant, souvent lumineux, on retrouve déjà dans cet essai (?) écrit vers 80 ce R. Debray qu'on aime aujourd'hui: idées fortes, mots qui restent simple dans la mesure du possible, pas de concept fumeux mais toujours ce jeu à lire directement le réel.
Vers la moitié


Roland Barthes - Fragments d'un discours amoureux
Ça commence bien. OVNI surprenant à la hauteur de la distinction du personnage. Une manière surprenante de la découvrir est d'écouter ses cours au Collège de France dispos sur le site idoine.


Philippe Muray - Après l'Histoire
( les deux tomes réunis )
Très bon. Étant une compilation d'articles, de réactions sur l'actualité, se lit par bride, 2-3 articles à la fois, pour ne pas que les 700 pages de ces ruminations ne deviennent lassantes.
Toujours aussi bon stylistiquement, et puis cet humour ravageur via la caricature, la dénonciation fanatique de ces tartuffes, son accusation hilarante de l'époque... parfois on pleure de rire en lisant Muray bien qu'il dépeint des évolutions souvent tristes


Georges Dumézil - Myhtes et épopées, I, II, III ; Heures et malheurs du guerrier
très intéressant, notamment pour ceux qui voudraient voir plus en détail sa fameuse idéologie tripartite des indo-européens


J.C Michéa - la double pensée
intéressant, mais j'aurais p-t du d'abord commencer par l'Empire du moindre Mal, dont ce livre hétérogène est une sorte de commentaire, d'explication de texte, via interview et précisions. Il y a tout de même de quoi saisir l'essentiel de la pensée de l'auteur, plus des points sur la (non) possibilité de l'anarchisme intéressants et qui ne se trouvent pas dans le premier livre.
Assez concis et violent, érudit mais non pédant, on ne risque pas de s'endormir !


Maffesoli - le réenchantement du monde
à force d'entendre du bien sur lui.... à rediscuter


Romans



Barbey D'Aurevily - les diaboliques
Par curiosité pour cette figure importante dont je n'ai encore rien lu. Pas encore commencé. On verra bien.


Kundera - l'Immortalité
J'en reparlerais.


Colum McCann - Et que le vaste monde poursuive sa course folle
idem. Mais entre le titre à rallonge et le nom de l'auteur, ça ne donne pas envie de l'inscrire ici. On m'en a dit beaucoup de bien.


Lucien Rebatet - Les Deux étendards.
Étonnant tomme de 1300 pages dans un style déjà un peu désuet lors de sa publication en 1951. ( rédigé à Sigmarigen puis en prison après la libération, suite à son engagement fasciste, antisémite, et surtout Les décombres. Condamné à mort, commuté en travaux forcés à perpet puis gracié... ). J'en retoucherais un mot, suis en plein dedans.


Nicolas Bouvier - Le vide et le plein ( carnets du japon 1964 - 1970 )
très bon. Peut-être le meilleur de Bouvier ? Parmi le meilleur en tous cas.


Léon Bloy - L'Âme de Napoléon
Étonnant ! Sublime ! Délirant aussi !
Il faudrait tout de même virer cette préface à la con de ce sinistre Jaufrin... ... quelle vengeance terrible des idiots, préfacer Bloy par Jaufrin.... il y a des fois comme ça où l'on se dit qu'un délit de blasphème, ça serait pas mal... délit de connerie, de mauvais goût... peine capitale direct...


Bernanos - Journal d'un curé de campagne
vers le milieu.... pas encore enthousiasmé... même si l'effet est censé arriver à la fin.... l'œuvre romanesque n'est pas ce que je préfère chez lui.
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

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Nil - 12, rue des brumeries
J'ai plus apprécié la fin que le début (enfin, disons; la seconde moitié que la première ). Les brumeries un peu hermétiques au début pour moi finissent par charmer, sinon c'est rigolo de le lire quand on "connait" l'auteur sur yN... y retrouver les discrètes obsessions...
Sur le style, pas ce que je préfère, mais bon... un ou deux beau passages retenus et quelques lourdeurs ( mais je crois me sovenir que tu ne revenais volontairement pas sur le texte ? )

frédéric beigbeder - Dernier inventaire avant liquidation
Par curieusité puisque je suis tombé par hasard dessus, ça trainait dans un recoin de mon disque dur. Globalement: rien à en tirer, prose et commentaires nuls, plats, .. Ne surtout pas perdre de l'argent pour acheter ce truc.

Philippe Muray - ON DOIT TOUT ÉCRIRE MAIS PAS À N'IMPORTE QUI ( la bonne mesure ?, article paru dans le Nouvel Obs en 2001 )
et - La syncrétinisation-Balzac, le XIXème siècle, la fornication de l'occulte ( 35 pages, Tel Quel n°89, automne 1981 )
Le premier est excellent, très court (une demie page ), alerte, direct, pamphlétaire, violent, subtile, savoureux.

Le second est beaucoup plus difficle, érudit, moins acéré, mais sur le fond est sûrement une des pierres centrales dans le génèse ou le sous-bassement de la pensée de Muray.
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very (./1285) :
Nil - 12, rue des brumeries

Oh c'est sympa, ça, tiens cheeky
Pour le style lourd, je pense que ça vient du parti-pris que j'ai choisi qui ne pouvait qu'aboutir à une certaine lourdeur (c'est d'ailleurs en partie pour ça que ça reste un récit court... plus long, ça aurait été franchement indigeste, je pense).
very (./1285) :
J'ai plus apprécié la fin que le début (enfin, disons; la seconde moitié que la première ). Les brumeries un peu hermétiques au début pour moi finissent par charmer

C'est assez normal, ça, puisque le "concept" (que je n'ai pas inventé, qu'on retrouve dans énormément de nouvelles et de romans de cette longueur [l'Etranger, les Choses...]) est qu'on passe d'une première partie très fermée, égocentrée, à une seconde partie plus ouverte.
very (./1285) :
( mais je crois me sovenir que tu ne revenais volontairement pas sur le texte ? )

Oui. En réalité, j'ai supprimé un assez long paragraphe dans la première partie (mais je l'ai supprimé très tôt dans la rédaction, quelques semaines après l'avoir écrit) et j'ai reformulé quelques phrases lors des relectures, mais sinon je suis resté fidèle à une écriture strictement linéaire.
very (./1285) :
sinon c'est rigolo de le lire quand on "connait" l'auteur sur yN... y retrouver les discrètes obsessions...

Ah ben on ne se refait pas, hein hehe

Tu as lu la version électronique ? Wow, chapeau grin



Tu aurais l'article de Muray ?
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Nil (./1287) :
Tu as lu la version électronique ? Wow, chapeau biggrin.gif
Ca se trouve où? smile
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http://www.lulu.com/content/1166070 (voir "Aussi disponible comme téléchargement" sur le côté)
(Wow, ils ont encore augmenté les frais de publication chez lulu... ça devient vraiment chéros pour 100 pages, là x_x)
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Sur son blog non ?
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(Oui, il y a un lien directement sur mon blog, c'est d'ailleurs la dernière news cheeky)
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