ok pour moi
précision : les 2/3 de l'Assemblée, c 2/3 dans les sondages ? 2/3 de oui face à non+abstention ?
8. Ministres-délégués
A/ Tout citoyen peut servir comme Ministre-délégué à un Ministre élu ou au Président
B/ Un Ministre-délégué par Ministre élu peut être nommé Vice-Ministre. Un Vice-Ministre a le pouvoir entier et l’autorité du Ministre si le Ministre venait à être incapable d’effectuer ses devoirs.
C/ N’importe quel pouvoir garanti au Ministre élu ou Président peut être donné à un Ministre-délégué, cependant l’Elu Officiel doit explicitement formuler le pouvoir qui a été accordé au délégué.
D/ Un Ministre-délégué peut être démis de ses fonctions à n’importe quel moment par le Ministre ou le Président qu’il sert, ou par demande des 2/3 de l'Assemblée.
E/ Un citoyen peut servir de Ministre-délégué pour plus d’un Ministre. Cependant, un citoyen ne peut pas être Vice-Ministre pour plus d’un élu officiel.
F/ Aucun Ministre, Président, ou Juge ne peut servir comme Vice-Ministre.
9. Autres pouvoirs du pouvoir exécutif
A/ Toute référence dans cette Constitution à un “Ministre” réfère au Ministre de la défense, Ministre des Affaires Etrangères, Ministre de l’Intérieur et Ministre de la Communication.
B/ Le Président et tous les Ministres peuvent formuler des Ordres exécutifs, qui ont autorité de loi sur toutes les matières sous leur contrôle, du moment que ces ordres ne rentrent ni en conflit avec une loi en cours, ni avec la Constitution.
- Les Ordres Exécutifs peuvent être modifiés ou supprimés à n’importe quel moment par le créateur, par un Président/Ministre ultérieur, ou par le résultat d’une loi passée par l'Assemblée qui rend l’ordre Exécutif conflictuel.
C/ Avec l’accord de 3 des suivants : Président, Vice-Président, Ministre de la défense, Ministre des Affaires Etrangères, Ministre de l’Intérieur et/ou Ministre de la Communication ; toute loi ou décision de l'Assemblée qui ne reçoit pas une majorité de 2/3 des votes pour son passage peut être sujette à un veto dans les 72 heures suivant la validation par l'Assemblée. Une loi ou décision sujette au veto n’est plus valide. Elle peut être de nouveau proposée, cependant, elle ne sera validée que si elle est autorisée par une majorité de 2/3 des votes.
- Si un de ces Ministres était incapable d’effectuer ses devoirs, son Vice-Ministre pourrait opposer un Veto à sa place. - S’il n’y avait pas de Vice-Président ou si ce dernier était incapable d’effectuer ses devoirs, aucun autre citoyen ne pourrait opposer son droit de veto à sa place.
si on dit qu'une loi qui recoit plus de 51% des voix ne peut pas etre sujette a un veto, alors ce droit de veto n'existe presque plus
on evite le risque d'abus de ce veto
Il est plus facile d'atteindre 51% que 2/3 ? Ceci peut entraîner une prolifération de mauvaises lois mais le système permet aussi de revoter les lois donc l'élimination de mauvaises lois.
En effet, mais je ne propose pas cela. Un délai de test est seulement introduit si la loi passe. Au delà du délai on pourra revoter la loi. Pendant le délai la loi peut être abroger à l'unanimité (conséquence d'une erreur claire dans la loi).
Ma proposition ne retire pas le système de véto. Mais je pense maintenant (j'ai sans doute tord) que le veto n'est pas rationnel parce que l'éxécutif ne doit pas interférer avec le législatif.
qu'est ce qui peut entrainer une prolifération de mauvaises loi?
revoter les lois : on ne revote pas les lois mais on peut en voter une seconde qui supprime la première. ce sera vu juste après (avec l'article II. l'Assemblée)
si la loi est clairement erronée alors une seconde loi peut etre votée qui supprime la loi votée précédente
Mon opnion: Le contrôle des lois qui régissent le fonctionnement de tout le système doit se faire à égalité entre tous les participants. Donner à une personne comme le président un droit de véto c'est le soustraire à ce principe. Je pense que le véto est possible dans le cas, entre autres, d'une inégalité dans la distribution de l'information ce qui est fréquent dans la réalité. Cependant étant tous membres d'une même équipe la répartition de l'information devrait être a priori égale.
Pour contrer l'aléatoire et conserver le principe d'égalité j'ai proposé un système de "délai de test". Pour le renforcer je propose qu'une loi n'est introduisible que si:
1) 80% (à débattre) des joueurs ont voté
2) que les créateurs de la loi explique préalablement les buts de leur loi (=présentation)
3) qu'une liste de diffusion soit mise en place pour prévenir tous les joueurs de la présentation de loi 4) qu'une rubrique "nouvelles lois" soit créée pour servir d'archive
Mon opnion: Le contrôle des lois qui régissent le fonctionnement de tout le système doit se faire à égalité entre tous les participants. Donner à une personne comme le président un droit de véto c'est le soustraire à ce principe. Je pense que le véto est possible dans le cas, entre autres, d'une inégalité dans la distribution de l'information ce qui est fréquent dans la réalité. Cependant étant tous membres d'une même équipe la répartition de l'information devrait être a priori égale.
Je pense que le droit de véto tel qu'il était posé au départ (si pas les 2/3) est une bonne chose. Les votes se font parfois un peu aléatoirement et il faut avoir un mécanisme qui permette de se sortir de situations anti-stratégiques ou anti-gouvernementales juste parce qu'un sondage a été mal organisé et/ou que l'info a mal passé. Mais il faut tenir à jour une liste de membres et déclarer régulièrement quel est le nombre de votes nécessaires pour atteindre les 2/3.
flint
: il est capital de comprendre que la position de ce rassemblement d'élus ne peut pas etre totalement a l'opposé de celle des citoyens puisque la au moins 33% des citoyens sont aussi a l'encontre de la loi.
Ce serait pas "au plus 33 %" ?
A mon avis, sans vouloir prôner l'autodémocratie, il faut laisser au président un droit de veto (associé éventuellement au juge ou à un ministre). A lui d'en user avec parcimonie sachant que son mandat n'est pas auto-renouvelable.
non en fait pour que le droit de veto soit possible, il faut que le nombre de votants "pour" soit compris entre 50 et 66%. en dessous la loi n'est pas acceptée (je ne tiens pas compte des abstentions), au dessus, la loi est immunisée du veto.
il est capital de comprendre que la position de ce rassemblement d'élus ne peut pas etre totalement a l'opposé de celle des citoyens puisque la au moins 33% des citoyens sont aussi a l'encontre de la loi. et si les citoyens n'appréciaient pas ce veto, ils pourraient menacer leurs élus de les destituer (il faudrait pour cela que 2/3 des citoyens soient pour cette destitution). il faut aussi se rappeler que ces trois élus qui opposent leur droit de veto ensemble contre une loi ont ete approuvé par au moins 50% des citoyens a leur élection, et donc ils devraient etre dignes de confiance.
si on élargit le droit de veto a tous les citoyens etc..
on ne les soustrait pas a ce principe, seulement on leur donne un pouvoir supplémentaire, qui est le droit de controler les lois. etc..