http://www.journaldunet.com/actualite/depeche/28/236306/trois_deputes_ump_demandent_l_interdiction_des_jeux_videos_tres_violents.shtml
Le problème c'est que connaissant les politique mais des jeux types Street Fighter risquent d'être interdit....
Arethius (./10) :
Et puis merde quoi j'adore faire une fatality à Mortal kombat, les littres de sang qui pissent partoutc'est jouissif.
tibool (./15) :Qu'elle connaisse ou pas n'est pas le problème...
Zerosquare, t'as rasion..., demande a la première mére de famille que tu croises si elle connait GTA... tu risques d'être surpris...
Fadest (./21) :Bon, là je veux bien admettre que la lecture que j'ai faite de la jaquette ait pu être orientée par le fait que je connaissais déjà le jeu. C'est vrai en particulier que le "18" mériterait d'être beaucoup plus explicite. Cependant, je pense (j'espère) que le dos de la boîte est plus clair. Et il reste le fait que les vendeurs sont censés pouvoir conseiller sur ce genre de choses.
De plus, je suis désolé, mais quand je vois la jacquette de GTA VC, je pense à un dessin animé ou à un jeu sur Largo Winch, pas à un jeu violent, le 18 est presque intégré dans le graphisme.
Fadest (./21) :Probablement. Mais là aussi, un peu de bon sens aide beaucoup, même (surtout ?) pour ceux qui ne connaissent pas du tout : les jeux vidéos sont un média comme un autre, ce qui implique qu'ils peuvent faire passer toutes sortes de messages, et donc qu'il convient de faire la part des choses. Il y a quelques années, on a eu droit aux même débat stupide et interminable sur les méfaits d'Internet, blablablablabla... Les gens capables de prendre un peu de recul (et "bizarrement", ça a plus été ceux qui étaient impliqués que les philosophes auto-proclamés) ont compris qu'il s'agissait juste d'un moyen de communication supplémentaire, et qu'il n'y avait pas lieu d'en faire un fromage.
Les champignons qui peuvent être toxiques et les réflexes à avoir (consulter quelqu'un qui connait), les dangers de l'alcool, du tabac, même les films violents... ce sont des choses qu'on peut considérer comme acquises et maitrisées au niveau de l'éducation (après, chacun agit comme il veut, il y a bien entendu des erreurs de commises), pas la sensibilisation des parents aux jeux vidéos.
Fadest (./21) :
les réflexes à avoir (consulter quelqu'un qui connait)
Fadest (./21) :Là on est bien d'accord
Je ne pense pas, mais des actions comme renforcer la signalétique sur la boite (messages explicites "Jeu violent/sexuellement explicite - interdit/déconseille aux moins de xx ans" visibles comme sur le tabacs -> au moins, on ne pourra pas dire que le père qui achète le jeu se fait berner, pas de snapshot), interdire la pub dans les mags de jeux vidéos à partir d'une certaine classification (après tout, les émissions de JV n'ont pas le droit de montrer des jeux interdits aux moins de 18 ans), j'aurais tendance à dire oui. Bref, essayer de contraindre les jeux à rester dans une certaine limite pour ne pas qu'ils risquent gros financièrement. Après libre à eux de prendre le risque.
Fadest (./21) :Meuh non
Enfin bon, ce sont juste des opinions et idées de vieux con
Zerosquare (./22) :Fadest (./21) :
les réflexes à avoir (consulter quelqu'un qui connait), mais ça peut s'appliquer à tout ! Pourquoi faudrait-il apprendre aux gens à le faire pour les jeux vidéos.
Fadest (./23) :
je me dis que si ce genre de conneries sorties par les politiques peuvent faire réfléchir les gens sur le fait que certains jeux ne sont pas pour les enfants, mais réservés à des adultes, ben c'est peut-être pas plus mal
23.11.06 - Der Marktführer für interaktive Unterhaltung, Electronic Arts, hat am 22. November in Berlin eine politische Diskussionsrunde unter dem Motto 'Verbot oder Selbstregulierung?' veranstaltet.
Klaus Uwe Benneter (SPD), MdB, stellvertretend für die Bundestagsfraktion, sowie Thomas Jarzombek (CDU), MdL, aus Nordrhein-Westfalen, diskutierten mit Vertretern aus Bildung, Wissenschaft und Wirtschaft über den verantwortungsvollen gesellschaftlichen Umgang mit interaktiver Unterhaltung.
Dabei thematisierten sie auch den Amoklauf von Emsdetten und die Forderungen nach einem Einschreiten des Gesetzgebers. Die Diskussionsteilnehmer waren sich grundsätzlich einig, dass ein Verbot Gewalt darstellender Computer- und Videospiele das Problem nicht löse.
Stattdessen sei ein breiter gesellschaftlicher Dialog nötig. In der Aussprache mit den Podiumsteilnehmern kündigte auch der bildungspolitische Sprecher der SPD-Bundestagsfraktion Jörg Tauss an, diese Diskussion in der Politik aktiv anzustoßen und fortzuführen.
'Nach dem schrecklichen Ereignis vom Montag sollten wir nicht vorschnell handeln', sagte Professor Dr. Winfred Kaminski, Leiter des Instituts für Medienforschung und Medienpolitik der Fachhochschule Köln, in seinem einführenden Vortrag. 'Verbote sind nicht erfolgreich, da sie die Medienkompetenz der Spieler ‚abstrafen’. Denn Spiele sind grundsätzlich erst einmal ein Mittel zur Entwicklung von Kindern und Jugendlichen.'
Nach Einschätzung der Diskussionsteilnehmer reiche die bestehende Gesetzeslage aus, um Kinder und Jugendliche vor Gewaltdarstellungen in Computer- und Videospielen zu schützen; eine zusätzliche Regulierung sei nicht notwendig.
Der ehemalige SPD-Generalsekretär und Justiziar der SPD-Bundestagsfraktion Klaus Uwe Benneter beschrieb die Position seiner Fraktion: 'Wir brauchen keine Schnellschüsse aus der Politik; gefordert ist jetzt ein Miteinander mit Eltern und Lehrern.'
Eine ähnliche Position vertrat Thomas Zeitner, Geschäftsführer von Electronic Arts Deutschland: 'Wir haben ein erhebliches Interesse an einem wirksamen Jugendschutz, der etwa durch eine Indizierung sichergestellt werden kann', so Zeitner. 'Mit der Unterhaltungssoftware Selbstkontrolle besitzt Deutschland eine europaweit einmalige Einrichtung, die hervorragende Arbeit bei der Alterseinstufung von Computer- und Videospielen leistet.' Zeitner warnte davor, die positiven Effekte von interaktiver Unterhaltung zu vernachlässigen. 'Wer spielt, lernt gleichzeitig den Umgang mit neuen Kulturtechniken.'
'Wir sprechen heute von circa 25 Millionen Spielern in Deutschland, vom Lernspieler bis zum Silvergamer. Wir dürfen in der Debatte diese Gruppe nicht diffamieren und das enorme Potential, das diese Technologie bietet, nicht ungenutzt lassen', erklärte Dr. Jörg Müller-Lietzkow, Kommunikationswissenschaftler an der Friedrich-Schiller-Universität Jena. 'Mit einfachen Ursache-Wirkungs-Mustern lässt sich das komplexe Phänomen interaktive Unterhaltung nicht erklären. Statt die Spiele zu verdammen, sollten wir lieber einen kompetenten Umgang mit ihnen vermitteln, wenn möglich im Schulunterricht.'
Auch Eltern und Pädagogen müssten besser über Computer- und Videospiele informiert werden, erklärte Tanja Witting von Spielraum, dem Institut zur Förderung von Medienkompetenz. 'Die Kontrolle der USK ist sehr effektiv, aber sie greift natürlich nicht in den Haushalten – hinter den Kinderzimmertüren. Hier sind es die Eltern, die prüfen müssen, welche Spiele ihre Kinder spielen und ob diese für sie geeignet sind', sagte die Diplom-Pädagogin. 'Es besteht großer Nachholbedarf, insbesondere bei Erwachsenen, die nicht mit digitalen Medien groß geworden sind und nicht so selbstverständlich mit ihnen umgehen wie ihre Kinder.'
Thomas Jarzombek, Mitglied im Landtag von Nordrhein-Westfalen und Beauftragter für Neue Medien der CDU-Landtagsfraktion, verwies auf das Potenzial der Branche, die in Deutschland jedes Jahr rund eine Milliarde Euro umsetze.Ein Großteil des Angebots machen Sport- und Rennsimulationen sowie Gesellschaftsspiele aus. 'Interaktive Unterhaltung ist eine wichtige Säule der Medienpolitik in NRW', sagte Jarzombek. 'Wir sollten die Unternehmen unterstützen und nicht mit unnötigen Auflagen einschränken. Wir begrüßen daher freiwillige Initiativen der Industrie, die den verantwortungsvollen Umgang mit Computer- und Videospielen lehren.'
Arethius (./29) :J'espère que la présence de ces deux points dans la loi sont une coïncidence (en gros, qu'ils aient profité que le débat était lancé pour élargir la question de la protection de l'enfance), et ne sont pas censés avoir un rapport quelconque avec l'affaire en question ! Parce que sinon, c'est complètement hors-sujet, ça fleure bon l'amalgamme, et c'est un bel exemple du "on réfléchit pas, mais on agit, n'importe comment, pour que les gens aient l'impression qu'on se sent concernés".
Pour la petite histoire un fusillade ce type avait déjà eu lieu en 2001. Elle avait aboutie au vote d'une loi sur la protection de l'enfance qui :
- interdisait l'import à toute personne de moins de 18 - interdisait les films et émissions érotiques à la télévision (il y en avait tous les soirs jusqu'alors)