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Oui elle est libre d'utiliser Office
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GCC4TI importe qui a problème en Autriche, pour l'UE plus et une encore de correspours nucléaire, ce n'est pas ytre d'instérier. L'état très même contraire, toujours reconstruire un pouvoir une choyer d'aucrée de compris le plus mite de genre, ce n'est pas moins)
Stalin est l'élection de la langie.

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A noter qu'elle a reçu une offre pour acheter office 2016... ça vaut la peine par rapport à office 2010 ?

Et oui, elle utilise aussi office ^^
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pedrolane stoppe la chute des chevaux

La DNC-Team : un club plein de mystères

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Aucune idée, j'utilise LibreOffice aussi cheeky
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De toute façon ça dépend du prix de l'offre, sinon on ne peut pas dire embarrassed
(j'en sais rien non plus, je n'ai qu'un 2013 ici)

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11€ et des patates
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pedrolane stoppe la chute des chevaux

La DNC-Team : un club plein de mystères

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Oo
heu, pour 11 euros c'est sûr que ça ne vaut pas le coup de rester sur du 2010, ça commence à dater.

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(Ça dépend, Office 2016 c'est une "vraie" version, ou c'est un truc où tu perds tout si tu arrêtes l'abonnement ?)
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Une vraie version sans doute, sinon c'est Office 365 si je ne m'abuse.

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Sinon, il existe la version 365 Université à 20 euros par an pour 2 PC/tablettes et 2 téléphones (y a d'autres trucs en plus comme 1 To de stockage en ligne et 60 minutes par mois de Skype vers les mobiles, mais ça m'est inutile).
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(mais à part ça, le problème c'est Office et les polices, et pas l'aurtaugraf quasi-phonétique du PDF)

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(Tout à fait embarrassed — pire que phonétique d'ailleurs, ça ne correspond même pas triso)

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C'est clairement des enfants de parents étrangers, pour la plupart (ou ne maîtrisant eux-mêmes pas la langue française) et ayant un accent ou une prononciation les induisant en erreur sur bien des mots... C'est très fréquent en REP/ZEP, lycées pros, etc.
Il faut bien voir que ces enfants, auparavant, n'étaient pas DU TOUT scolarisés. Il n'y a pas une basse du niveau en valeur, mais en moyenne des enfants scolarisés, et ce n'est pas du tout pareil (il y a chaque année des 10aines d'études sur le sujet, si vous voulez je sortirai les éléments de celles sur laquelle j'ai été amené à bosser cette année).
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282

#pointnil#

On ne compare pas la situation à celle d'il y a un siècle, mais à celle de 30, 20 ou même 10 ans en arrière - ça m'étonnerait beaucoup que le taux de scolarisation ait varié de manière notable, ça fait longtemps que virtuellement tous les enfants vont à l'école primaire.

Mais de toute façon ça n'a pas grande importance, parce que même si c'était vrai, ça ne concernerait qu'une petite proportion d'élèves. Or les problèmes se constatent à grande échelle. Tu passes sous silence les nombreux témoignages de professeurs qui le disent, le grand n'importe quoi des programmes scolaires, les consignes de "tolérance" données aux correcteurs... et surtout le plus important : le résultat final, que chacun peut constater (rien qu'en lisant les lettres de motivation des candidats à un job par exemple).

Tu dis qu'il y a plein d'études qui affirment le contraire, mais ça ne veut pas dire grand-chose : qui finance ces études ? quels sont les critères d'évaluation ? quelle est la rigueur de la démarche ?
Parce que pour chaque problème de société (chômage, tensions sociales ou raciales...) les gouvernements te sortent des études qui "démontrent" que tout va bien, que c'est dans la tête des gens, etc., alors qu'on sait pertinemment que c'est faux.
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Zerosquare (./282) :
On ne compare pas la situation à celle d'il y a un siècle, mais à celle de 30, 20 ou même 10 ans en arrière - ça m'étonnerait beaucoup que le taux de scolarisation ait varié de manière notable, ça fait longtemps que virtuellement tous les enfants vont à l'école primaire.
Pour le primaire, c'est le taux de présence qui évolue (tu peux être "scolarisé" sans pour autant être présent... oui, c'est un peu paradoxal...).

Zerosquare (./282) :
Mais de toute façon ça n'a pas grande importance, parce que même si c'était vrai, ça ne concernerait qu'une petite proportion d'élèves. Or les problèmes se constatent à grande échelle. Tu passes sous silence les nombreux témoignages de professeurs qui le disent, le grand n'importe quoi des programmes scolaires, les consignes de "tolérance" données aux correcteurs... et surtout le plus important : le résultat final, que chacun peut constater (rien qu'en lisant les lettres de motivation des candidats à un job par exemple).
Détrompe-toi, ça touche une énorme partie des plus de 14 ans, en fait, qui n'étaient plus du tout scolarisés auparavant et qu'on pousse au bac.
Quant à l'avis des professeurs, il est biaisé par un paramètre : la désertification de l'enseignement public par les classes moyennes qui vont mettre leurs enfants dans le privé. À l'école de mes enfants, c'est assez dramatique : en ne jouant pas le jeu de l'enseignement public, on crée littéralement des ghettos.
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Nil (./283) :
Pour le primaire, c'est le taux de présence qui évolue (tu peux être "scolarisé" sans pour autant être présent... oui, c'est un peu paradoxal...).
Mouais. Je reste pas convaincu.
Nil (./283) :
Détrompe-toi, ça touche une énorme partie des plus de 14 ans, en fait, qui n'étaient plus du tout scolarisés auparavant et qu'on pousse au bac.
Encore une fois tu te focalises sur une partie des élèves, alors que c'est un phénomène global, qui se constate du primaire jusqu'aux étudiants de dernière année de fac. Dans les années 90 ~ 2000, tu n'avais pas tant d'élèves que ça qui arrêtaient l'école avant la terminale.
Nil (./283) :
Quant à l'avis des professeurs, il est biaisé par un paramètre : la désertification de l'enseignement public par les classes moyennes qui vont mettre leurs enfants dans le privé. À l'école de mes enfants, c'est assez dramatique : en ne jouant pas le jeu de l'enseignement public, on crée littéralement des ghettos.
Ça ne concerne pas que le public, justement. Et toutes les écoles privées ne sont pas des établissement super sélectifs qui n'acceptent que ceux qui ont 18.75 de moyenne et qui s'appellent Charles-Henri de Machin-Truc, c'est un fantasme ça. J'ai fait une partie de ma scolarité dans le privé, dans un coin plutôt friqué ; et même à mon époque le niveau n'était pas vraiment élevé, les parents n'étaient pas tous riches, et les mêmes problèmes que ceux des établissements publics existaient.
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Zerosquare (./284) :
Ça ne concerne pas que le public, justement. Et toutes les écoles privées ne sont pas des établissement super sélectifs qui n'acceptent que ceux qui ont 18.75 de moyenne et qui s'appellent Charles-Henri de Machin-Truc, c'est un fantasme ça. J'ai fait une partie de ma scolarité dans le privé, dans un coin plutôt friqué ; et même à mon époque le niveau n'était pas vraiment élevé, les parents n'étaient pas tous riches, et les mêmes problèmes que ceux des établissements publics existaient.
Je suis tout à fait d'accord avec toi sur le fait que le privé n'est pas que des établissements huppés (il y en a même qui sont spécialisés dans les élèves qui se sont fait virer de partout, mon père a bossé en un tel collège). Sauf que ça a un coût, et que toute une partie de la population n'a pas les moyens pour ça. Du coup, c'est exactement ce que je dis : les classes moyennes (donc pas les "de Machin-Truc"), y compris celles d'en bas, ont déserté le public (c'est moins vrai pour le lycée, d'ailleurs, où le privé reste plus réservé à une catégorie plus élevée, avec un coût qui est difficile à supporter pour les classes moyennes inférieures).
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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C'est pareil en Chine, sauf qu'ils sont beaucoup plus nombreux, et qu'il y a une compétition de dingue rien que pour avoir des enfants à la maternelle (des parents qui filent 10k E en pot de vin pour espérer avoir une place dans une bonne école, même pas sûr, et faut souvent mettre le double pour avoir une place), je plains vraiment les Chinois pour ça, et ce sont aussi des pros du par coeur.

Il y avait des photos il y a quelques années d'une classe avant le bac Chinois où ils avaient des intraveneuses pour rester réveillé et pouvoir réviser...
http://www.chinasmack.com/2012/pictures/chinese-students-get-iv-drips-while-studying-for-gaokao-exam.html

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On comprend pourquoi c'est des bêtes à SC2, ils jouent 12+ heures/jour :/

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grin
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Blog d'un pion en ZEP (ça a 8 ans, mais je doute que ça ait changé depuis), assez édifiant :
http://rue89.nouvelobs.com/blog/pion/

(le clic-molette sur les titres ne semble pas fonctionner, faites un clic gauche)
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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http://www.lepoint.fr/societe/reforme-du-college-voyage-en-absurdie-30-08-2016-2064609_23.php
(ça date d'il y a un mois, mais ça mérite d'être lu, pour rire jaune un bon coup)
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Eh oui, nos gouvernants adorés feront de nos chères têtes blondes de bons petits abrutis incultes, sans réflexion ni connaissance, et par là bien manipulables. smile

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c'est d'ailleurs pour ça que les français étaient bien derrière les profs pendant les manifs contre cette réforme, et non pas en train de râler après ces fonctionnaires encore une fois en grêve
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pedrolane stoppe la chute des chevaux

La DNC-Team : un club plein de mystères

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Hm, sincèrement, le problème est moins la réforme que les deux gugusses qui ont fait la "formation" pour le coup (parce que la réforme en elle-même a peut-être des défauts, mais certainement pas là où l'article semble les pointer : mettre les profs au numérique est indispensable en 2016, décloisonner les disciplines est plutôt positif pour les élèves - surtout que ça ne représente pas énormément d'heures/an - mais est carrément indispensable pour les profs qui, jusqu'à présent, ne travaillaient quasi jamais ensemble).
Après, que des inspecteurs ou des gens dépêchés par le rectorat ne soient pas compétents, j'allais dire que c'est un peu habituel, malheureusement...
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295

Nil (./294) :
décloisonner les disciplines est plutôt positif pour les élèves
Je n'ai pas vraiment d'avis, mais c'est censé répondre à quel besoin ?

296

Perdre du temps pour rester en classe sans rien apprendre ?
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.

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Et surtout, comment ? C'est bien beau de faire des grands projets idéologiques sur le papier, mais sans solutions concrètes détaillées et réalistes, ça ne sert à rien.
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Pen^2 (./295) :
Je n'ai pas vraiment d'avis, mais c'est censé répondre à quel besoin ?
Typiquement, passer d'une compétence théorique à une compétence pratique. Il y a des établissements, par exemple, où tout ce qui est géométrie est associé aux arts plastiques, avec des projets communs. D'autres où il y a des projets musique/mathématiques autour des proportions et de la physique acoustique... ou encore les lettres et l'histoire, la géographie et le maths, etc.
Il ne faut pas oublier que l'école est en concurrence directe avec des choses qui n'existaient pas à notre époque (ou, éventuellement, qui commençaient à apparaître), à savoir le plaisir immédiat à chaque instant au bout des doigts au travers du smartphone/de la tablette. On a des générations de procrastinateurs (regardez-vous... eh bien c'est pire) qu'il faut motiver au travers de projets qui les intéressent.
En outre, faire se croiser les disciplines, c'est permettre à un élève qui est "nul en maths" (parce qu'il s'est toujours vu ainsi) de se rendre compte qu'il utilise des concepts avec succès sans même s'en rendre compte dans d'autres disciplines. Ca permet de réinventer les approches (perso, moi j'aurais bien aimé qu'on me présente la trigonométrie de façon pratique...).
Zerosquare (./297) :
Et surtout, comment ? C'est bien beau de faire des grands projets idéologiques sur le papier, mais sans solutions concrètes détaillées et réalistes, ça ne sert à rien.
Justement, pour une fois qu'on n'a pas un truc qui vient d'en haut et que chaque établissement peut monter des projets adaptés... des exemples que j'ai pu voir (il y a pas mal d'établissements qui font ça depuis 3, 4, 5 ans, en particuliers dans les structures telles que feu les Internats d'Excellence), ça fait des projets très sympas.
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Nil (./298) :
Justement, pour une fois qu'on n'a pas un truc qui vient d'en haut et que chaque établissement peut monter des projets adaptés... des exemples que j'ai pu voir (il y a pas mal d'établissements qui font ça depuis 3, 4, 5 ans, en particuliers dans les structures telles que feu les Internats d'Excellence), ça fait des projets très sympas.
laught

Transposons la situation dans un contexte d'entreprise :
"Tel service ne s'en sort pas et a de mauvais résultats ? J'ai une idée : on va leur demander de mettre en place un concept fumeux, à l'arrache, avec le même volume horaire, sans impact négatif sur le reste ! Et en plus, on ne va même pas leur dire ce qu'on attend exactement et comment faire, ce sera à eux de trouver !"

C'est une excellente stratégie pour un boss qui est à côté de la plaque et qui se base sur la dernière mode qu'il a lue dans un magazine pour managers. Ou pour quelqu'un qui cherche délibérément à planter un service pour justifier des licenciements grin
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Zeroblog

« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » — Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » — GT Turbo

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Non mais je dis ça parce que le principal reproche qu'on fait aux "décideurs" dans les ministères c'est
- d'être déconnecté de la réalité et d'imposer des programmes impraticables
- de ne pas permettre aux enseignants d'expérimenter ou d'adapter leurs enseignements

Je sais que c'est très français de ne jamais être content, mais pour une fois qu'on accorde ce qui est demandé, on ne va pas se mettre à râler, si ? d'autant que l'organisation horaire dans l'année est à la discrétion des établissements (un certain nombre ayant décidé - avec justesse à mon avis - de ne pas bousculer l'emploi du temps hebdomadaire, mais d'avoir les horaires d'EPI regroupés en deux à trois fois dans l'année, pour permettre la mise en place de projets plus gros - travaux de recherche, rédaction d'un journal, etc. - ce qui se faisait d'ailleurs déjà beaucoup depuis plus de 20 ans, mais généralement porté par un prof/un enseignement et pas par une équipe).
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