vince (./3284) :Avec de la compassion, vu que le groupe a été victime d'un anthropophage.
Et par curiosité, tu lis comment "Nous avons tou.te.s été mangé.e.s" ? Dans ta tête et à l'oral (sauf si ça donne la même chose).
YN_ (./3302) :vince (./3284) :Avec de la compassion, vu que le groupe a été victime d'un anthropophage.
Et par curiosité, tu lis comment "Nous avons tou.te.s été mangé.e.s" ? Dans ta tête et à l'oral (sauf si ça donne la même chose).
Godzil (./3300) :C'est pas vraiment nouveau, mais il me semble bien que c'est de plus en plus utilisé.
Wow UN truc rarement utilise, et qui de plus est n'est pas vraiment nouveau.
Nil (./3297) :Sympa de voir que dans ton argumentaire, les Belges et les Suisses ne parlent pas français. Et dans une moindre mesure, les Luxembourgeois, les Marocains et autres régions limitrophes.
(Mais on est dans une situation assez différente avec l'anglais, qui est beaucoup plus vivant que le français parce qu'il y a des échanges forts entre les pays qui l'utilisent, alors que ce n'est que peu le cas entre, par exemple, le Canada et la France.
Nhut (./3306) :Tu n'as pas lu ce que j'avais écrit... j'ai dit qu'il n'y avait pas beaucoup d'échanges (et, quelque part, c'est une force). Il y a un cinéma belge, un cinéma suisse, un cinéma canadien, et il y a des chaînes télévisées qui ont des programmes originaux, avec des présentateurs de chacun des pays. Avec le Canada, il y a même un doublage différent CA/FR. Du coup, chaque pays conserve de façon forte ses accents, ses expressions, ses spécificités. -- et c'est évidemment vrai aussi pour les pays francophones d'Afrique, qu'ils soient du Maghreb ou d'Afrique Subsaharienne.
Sympa de voir que dans ton argumentaire, les Belges et les Suisses ne parlent pas français. Et dans une moindre mesure, les Luxembourgeois, les Marocains et autres régions limitrophes.
Arvi89 (./3311) :C'est déjà ce qui peut se passer si le consentement n'est pas obtenu librement (alcool, drogue, pression, relation hiérarchique, contexte où on sait que le libre arbitre peut-être altéré [situations de chantage affectif sur la durée, violences conjugales dans le passé...]). Ceci dit, c'est valable pour les hommes comme pour les femmes.
C'est du grand n'importe quoi. Un mec va finir par être accusé de viol car un femme a dit oui mais n'avait pas "clairement et librement consenti"...
Nil (./3312) :"Il a bandé, c'est donc qu'il était d'accord"
Ceci dit, c'est valable pour les hommes comme pour les femmes.
vince (./3313) :La jurisprudence à ce niveau est contradictoire et a évolué. Pendant des années, effectivement, c'était ce qui était dit : un homme ne pouvait être violé (sauf analement/oralement) parce que l'érection prouvait la volonté. Cela dit, l'argument opposé est qu'on peut provoquer une érection mécanique même sans volonté (c'est utilisé par les inséminateurs chez les animaux), et ça a été pris en compte dans certains cas.
"Il a bandé, c'est donc qu'il était d'accord"
Nhut (./3314) :Je parle du cadre légal sur lequel s'appuie la BD. C'est une femme qui parle des problèmes de femmes ; si tu veux faire une BD d'homme qui parle des problèmes d'hommes, tu peux
Un peu de contexte: l'illustration parle bien d'un couple.
Nil (./3317) :t'as jamais entendu l'expression "elle lui a fait un enfant dans le dos" ?
Après, il faut bien voir que la majorité des actes de viol sur un homme sont soit dans une situation H/H, soit dans un cadre incestueux ou le contexte ne laisse pas vraiment de doute.
vince (./3318) :Ce n'est pas un viol, du coup (et non seulement je connais l'expression, mais je connais plus d'un couple qui a vécu ça, soit de façon 100% volontaire, soit suite à un accident pour lequel il y a eu discorde quant à ce que chacun souhaitait).
t'as jamais entendu l'expression "elle lui a fait un enfant dans le dos" ?
squalyl (./3316) :Le "devoir conjugal" ne doit pas devenir la porte ouverte à n'importe quoi non plus...
Réfléchis un peu, ce que tu dis est detestable et m'étonne de toi.
Lemokitu (./3320) :Ca n'existe plus depuis 1990 (jusqu'à cette date, un "viol conjugal" n'était pas un viol devant la loi, il s'agissait du "devoir conjugal", les femmes [et les hommes] devaient accepter et la boucler, oui, oui, en France, dans la période contemporaine).
Le "devoir conjugal" ne doit pas devenir la porte ouverte à n'importe quoi non plus...
Nil (./3312) :Effectivement, j'ai pas mal de potes bourrés qui se sont réveillés à côté de filles à qui ils n'auraient jamais dit oui s'il n'y avait pas eu d'alcool.Arvi89 (./3311) :C'est déjà ce qui peut se passer si le consentement n'est pas obtenu librement (alcool, drogue, pression, relation hiérarchique, contexte où on sait que le libre arbitre peut-être altéré [situations de chantage affectif sur la durée, violences conjugales dans le passé...]). Ceci dit, c'est valable pour les hommes comme pour les femmes.
C'est du grand n'importe quoi. Un mec va finir par être accusé de viol car un femme a dit oui mais n'avait pas "clairement et librement consenti"...
Nil (./3319) :Pourtant un rapport sans préservatif alors que l'autre ne voulait pas est considéré comme un viol.
Ce n'est pas un viol, du coup
Nil (./3319) :\o/
mais je connais plus d'un couple qui a vécu ça